Cettenuit j'ai fais un cauchemar J'ai rĂȘvĂ© de toi ! 947 J’aime. Entreprise locale Russia is waging a disgraceful war on Ukraine. Russia is waging a disgraceful war on Ukraine. Stand With Ukraine! Artist Ogee Translations English, Turkish French French j'ai encore rĂȘvĂ© de toi ✕ J'ai encore rĂȘvĂ© de toi cette nuit Les yeux plongĂ©s dans le noir Je fuis les problĂšmes que j'ai au taf Aussi mais surtout le fait qu'tu sois parti J'aimerais pouvoir dire au revoir Fini mes rĂȘves, mes cauchemars me suivent Entends-tu ma voix, le soir, qui crie ? Ma voix pleine de dĂ©sespoir s'ennuieMais chaque image que tu m'as laissĂ© Me hantent encore, tu emplis mes pensĂ©es D'un goĂ»t amĐ”r, un goĂ»t empoisonnĂ© D'un voile qui cache Đ”ncore la vĂ©ritĂ©J'ai encore rĂȘvĂ© de nous ImprĂ©gnĂ© d'un amour fou Un rĂȘve dans tes bras Et je m'y plaisais Car l'amour sans toi sans intĂ©rĂȘt J'ai encore rĂȘvĂ© de toi Mon sommeil dicte mes pas J'ai peur d'avancer quand t'es pas lĂ  Et peur d'ĂȘtre nue si c'est pas tes drapsJ'ai encore rĂȘvĂ© de toi cette nuit J'criais Ă  en perdre la voix Du bruit qui font raisonner mon crĂąne Ma vie est dĂ©cousue et tombe dans le vide Vide infini sans issue Je crois que la douleur prend le dessus en moi Comme une bataille de perdue sans toi Pourrais-je revenir au dĂ©but une fois ?Mais chaque image que tu m'as laissĂ© Me hantent encore, tu emplis mes pensĂ©es D'un goĂ»t amer, un goĂ»t empoisonnĂ© D'un voile qui cache encore la vĂ©ritĂ©J'ai encore rĂȘvĂ© de nous ImprĂ©gnĂ© d'un amour fou Un rĂȘve dans tes bras Et je m'y plaisais Car l'amour sans toi sans intĂ©rĂȘt J'ai encore rĂȘvĂ© de toi Mon sommeil dicte mes pas J'ai peur d'avancer quand t'es pas lĂ  Et peur d'ĂȘtre nue si c'est pas tes drapsJ'ai encore rĂȘvĂ© de toi cette nuit Les yeux plongĂ©s dans le noir Je fuis les problĂšmes que j'ai au taf aussi Mais surtout le fait qu'tu sois parti ✕ Copyright Writers ClĂ©ment Argentier, OcĂ©ane Guichard, Rodrigue JanoisLyrics powered by by Add new translation Add new request Translations of "j'ai encore rĂȘvĂ© de ..." Music Tales Read about music throughout history Heyyy bon, j'ai connu la page blanche la plus terrible dans ma vie, je n'avais ni motivation ni inspiration Mais je suis de retourrrrr ! Et mes textes de
Maman... j'ai rĂȘvĂ© de toi cette nuit!J’ai rĂȘvĂ© de toi cette nuitUn petit rĂȘve douxQui effaça mon chagrin et mes ennuisNous Ă©tions toutes les deuxAssises sous notre figuier Nous parlions secrĂštementLe travail,Le cƓur
Un peu de tout
Tu m’as pris la main Tu as prononcĂ© doucement Tu as grandi ma petiteLoin de mes yeux »Deux larmes tombĂšrentUne de tes beaux yeux !Une des miensQui ressemblent beaucoup aux tiens !Tu m’as pris dans tes bras tendresJ’ai ressenti la chaleur de ton cƓurVenant de lointainComme la brise du matin!J’ai rĂȘvĂ© de toi mamanEt je pense Ă  toi tant!Asma10/11/2009[/b][/color]AsmaMehdiNombre de messages 14loisirs PoĂšsie; PeintureDate d'inscription 27/07/2009 Re Maman... j'ai rĂȘvĂ© de toi cette nuit! par tamima Mar 5 Oct - 2201le lien le plus fort qu'on puisse avoir. les mamans sont nos confidentes de messages 706Date d'inscription 01/05/2010 Re Maman... j'ai rĂȘvĂ© de toi cette nuit! par rychar Mer 6 Oct - 1934et les papa alors????sourire...trĂ©s plein de tendresse....rycharNombre de messages 5906loisirs Ă©criture, vĂ©lo,musique, Humeur rĂȘveurDate d'inscription 17/03/2010 Re Maman... j'ai rĂȘvĂ© de toi cette nuit! par Mostafa Mer 6 Oct - 2142AsmaMehdi a Ă©critJ’ai rĂȘvĂ© de toi cette nuitUn petit rĂȘve douxQui effaça mon chagrin et mes ennuisNous Ă©tions toutes les deuxAssises sous notre figuier Nous parlions secrĂštementLe travail,Le cƓur
Un peu de tout
Tu m’as pris la main Tu as prononcĂ© doucement Tu as grandi ma petiteLoin de mes yeux »Deux larmes tombĂšrentUne de tes beaux yeux !Une des miensQui ressemblent beaucoup aux tiens !Tu m’as pris dans tes bras tendresJ’ai ressenti la chaleur de ton cƓurVenant de lointainComme la brise du matin!J’ai rĂȘvĂ© de toi mamanEt je pense Ă  toi tant!Asma10/11/2009[/b][/color]Douceur,tendresse,complicitĂ©,entente,amour,Ă©motions,sentiments,Ă©change et partage entre une fille et sa mĂšre!TrĂšs Ă©mouvant et attachant!! MostafaNombre de messages 983loisirs Théùtre,Lecture,poĂ©sie,voyagesHumeur cela dĂ©pend du temps!Date d'inscription 06/08/2010 Re Maman... j'ai rĂȘvĂ© de toi cette nuit! par karim safriwi Mer 6 Oct - 2240C’est Ă  travers les cƓurs des mamansQue l’on perçoit l’humanitĂ©Leur amour existe depuis la nuit des safriwiNombre de messages 615Date d'inscription 03/07/2008 Sujets similairesPermission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
Jai rĂȘvĂ© de toi cette nuit Un rĂȘve dont je n'aurais pas voulu sortir et auquel je me suis accrochĂ©e pour rester un peu plus avec toi J'ai l'impression que tu es si proche et Ă  la fois si
J’ai Encore RĂȘvĂ© De ToiCette nuit j’ai encore rĂȘvĂ© de toiHeureuse dans mon sommeilD’ĂȘtre au chaud dans tes brasQuand je t’ai cherchĂ© a mon rĂ©veilTu n’étais plus sous mes drapsLes yeux en larmes la gorge serrĂ©eJ’ai voulu crier ton nomMais seul un murmure est sortiJ’ai pris mon tĂ©lĂ©phone pour t’appelerCe n’est qu’en Ă©coutant le rĂ©pondeurQue, amĂšrement je me suis rappelĂ©Que juste il y a quelques joursTu Ă©tais lĂ  dans mes brasTu me disais au revoirEt de mes propres mainsJ’ai fermĂ© tes paupiĂšresPour un sommeil Ă©ternelSyllabation De L'ÉcritSyllabes HyphĂ©nique J’ai Encore RĂȘvĂ© De Toicet=te=nuit=jai=en=core=rĂȘ=vĂ©=de=toi 10heu=reu=se=dans=mon=som=meil 7dĂȘ=tre=au=chaud=dans=tes=bras 7quand=je=tai=cher=chĂ©=a=mon=rĂ©=veil 9tu=nĂ©=tais=plus=sous=mes=draps 7les=y=eux=en=lar=mes=la=gorge=ser=rĂ©e 10jai=vou=lu=cri=er=ton=nom 7mais=seul=un=mur=mu=re=est=sor=ti 9jai=pris=mon=tĂ©=lĂ©=phone=pour=tap=pe=ler 10ce=nest=quen=Ă©=cou=tant=le=rĂ©=pon=deur 10que=a=mĂšre=ment=je=me=suis=rap=pe=lĂ© 10que=jus=te=il=y=a=quel=ques=jours 9tu=Ă©=tais=lĂ =dans=mes=bras 7tu=me=di=sais=au=re=voir 7et=de=mes=pro=pres=mains 6jai=fer=mĂ©=tes=pau=pi=Ăš=res 8pour=un=som=meil=Ă©=ter=nel 7PhonĂ©tique J’ai Encore RĂȘvĂ© De ToisΔtə nÉ„i ʒΔ ɑ̃kɔʁə ʁΔve də twaĆ“ÊĂžzə dɑ̃ mɔ̃ sɔmΔjdΔtʁə o ʃo dɑ̃ tΔ bʁakɑ̃ ʒə tΔ ʃΔʁʃe a mɔ̃ ʁevΔjty netΔ plys su mΔ dʁalΔz- iĂžz- ɑ̃ laʁmə- la ÉĄÉ”ÊÊ’É™ seʁeʒΔ vuly kʁje tɔ̃ nɔ̃mΔ səl Ć“Ìƒ myʁmyʁə Δ sɔʁtiʒΔ pʁi mɔ̃ telefɔnə puʁ tapəlesə nΔ kɑ̃n- ekutɑ̃ lə ʁepɔ̃dĆ“Êkə, amΔʁəmɑ̃ ʒə mə sÉ„i ʁapəlekə ʒystə il i a kΔlk ʒuʁty etΔ la dɑ̃ mΔ bʁaty mə dizΔz- o ʁəvwaʁe də mΔ pʁɔpʁə- mɛ̃ʒΔ fΔʁme tΔ popjΔʁəpuʁ Ć“Ìƒ sɔmΔj etΔʁnΔlSyllabes PhonĂ©tique J’ai Encore RĂȘvĂ© De ToisΔ=tə=nÉ„i=ʒΔ=ɑ̃=kɔʁə=ʁΔ=ve=də=twa 10Ɠ=ÊĂž=zə=dɑ̃=mɔ̃=sɔ=mΔj 7dΔ=tʁə=o=ʃo=dɑ̃=tΔ=bʁa 7kɑ̃=ʒə=tΔ=ʃΔʁ=ʃe=a=mɔ̃=ʁe=vΔj 9ty=ne=tΔ=plys=su=mΔ=dʁa 7lΔ=zi=Ăž=zɑ̃=laʁmə=la=ÉĄÉ”Ê=ʒə=se=ʁe 10ʒΔ=vu=ly=kʁj=e=tɔ̃=nɔ̃ 7mΔ=səl=Ć“Ìƒ=myʁ=my=ʁə=Δ=sɔʁ=ti 9ʒΔ=pʁi=mɔ̃=te=le=fɔnə=puʁ=ta=pə=le 10sə=nΔ=kɑ̃=ne=ku=tɑ̃=lə=ʁe=pɔ̃=dĆ“Ê 10kə=a=mΔ=ʁə=mɑ̃ʒə=mə=sÉ„i=ʁa=pə=le 10kə=ʒys=tə=il=i=a=kΔl=kə=ʒuʁ 9ty=e=tΔ=la=dɑ̃=mΔ=bʁa 7ty=mə=di=zΔ=zo=ʁə=vwaʁ 7e=də=mΔ=pʁɔ=pʁə=mɛ̃ 6ʒΔ=fΔʁ=me=tΔ=po=pj=Δ=ʁə 8puʁ=Ć“Ìƒ=sɔ=mΔj=e=tΔʁ=nΔl 7 Commentaires Sur La Poesie26/10/2018 2223Tulipe NoireTouchant et passionnel ton 1757Clown BlancL amour est Ă©ternel...! 08/11/2018 2311TristanaC’est toujours dur de perdre l’ĂȘtre aimĂ©

NoirePoésie Tome 1 à 1000 - Encouragez un poÚte différent, autodidacte Nelliganisé Tome 332 complété, novembre 2020

PubliĂ© le 11 octobre 2020 dans Absurde Je suis dans un endroit inconnu et deux personnes veulent ma faire exprĂšs, j’en tue un, je suis dĂ©vastĂ©e, c’est une erreur, je n’ai pas pu faire une chose pareille !Je prends le corps dans mes bras et je vais trouver un endroit isolĂ© pour l’ mon retour, les flics sont discutent, ils ont trouvĂ© mon matelas
.L’un demande Ă  l’autre Tu trouves que ce matelas vaut 50 millions toi ? »L’autre rĂ©pond CarrĂ©ment pas. »Et moi, je ris!S’ils savaient ces imbĂ©ciles
 RĂȘvĂ© le 11 octobre 2020 Par CĂ©cile
Jai rĂȘvĂ© de toi cette nuit. Dreamt of you fast night. Rachel : Je, je ne sais pas ; j'ai l'impression que j'ai revĂ© de toi cette nuit mais, mais je ne me souviens de rien. Rachel: I don't know, I, I feel like I had a dream about you last night but I, I don't remember. Moi j'ai revĂ© de toi, cette nuit.
PubliĂ© le 14 novembre 2012 dans Romantique Tout commence pendant la nuit, je me vois en train de me balader sur un pont au-dessus de la Garonne. Je suis accompagnĂ© par une fille que je connais et j’avoue que j’ai des sentiments pour elle dans la vie rĂ©elle, je la tiens Ă  cĂŽtĂ© de moi, il fait un temps magnifique, c’est une superbe nuit dans la ville rose, c’est une nuit d’ discutons et je me rappelle dans le rĂȘve que je sors avec elle depuis longtemps et que je l’ai invitĂ© Ă  venir revoir Toulouse avec – Ça te plait ?Elle – Oui, le soir c’est encore plus beau, merci de m’avoir amenĂ© ici, avec toi, mon – Tu me rends encore plus heureux
 J’ai 
 quelque chose pour toi
Je sors un paquet de mon manteau Elle – Qu’est-ce que c’est ? me demanda-t-elle avec un – Pour notre premiĂšre annĂ©e, c’est toujours la plus le paquet, et lui montre un superbe collier, je lui mets autour de son joli – Mon Dieu Mathieu !! Il est magnifique !!Elle m’embrasse, et mon rĂȘve s’arrĂȘte sur un clair de Lune plus Ă©tincelant que jamais
 Je me rĂ©veille. RĂȘvĂ© le 14 novembre 2012 Par RĂ©voman
Ouça#106. Le Marketing Conversationnel : Une StratĂ©gie Customer Care Redoutable Pour Vendre En Ligne Avec Pauline Sarda e 177 episĂłdios mais de Entrepreneur Care, de graça! Sem a necessidade de instalar ou se inscrever #145. Summer Care : L’innovation et la prise de risque au coeur du customer care de Spotify. đŸ•”đŸœâ€â™€ïž #32.
U s’inquiĂšte aussitĂŽt. Il se demande ce que c’était, sĂ»r qu’il apparaissait mourant, blessĂ©, mort, plein de sang, dĂ©chiquetĂ©, mort-vivant. Il imagine des visions de cauchemar et se croit dĂ©signĂ© comme si un ennemi anonyme lui avait jetĂ© un sort. Lui-mĂȘme fait souvent des rĂȘves dĂ©rangeants dans lesquels il voit ses amis dĂ©coupĂ©s Ă  la hache, aplatis dans un accident, ligotĂ©s sur des rails. ÉpouvantĂ© par ces images affreuses, il se garde gĂ©nĂ©ralement de les raconter aux personnes concernĂ©es. Il pense Aucune raison qu’on ne me voie pas aussi dans ce type de situation. Étais-je en train d’agoniser ? de brĂ»ler aux enfers ? d’ĂȘtre fini par des corbeaux ? Est-ce que c’était mon enterrement ? une pendaison ? une exĂ©cution en public ? Et si on m’avait jetĂ© dans un trou plein d’acide. Et si j’étais Ă©cartelĂ© ? U se mĂ©fie de son ami rĂȘveur Il a toujours Ă©tĂ© jaloux. Normal qu’il dĂ©sire ma disparition. Tu penses qu’il ne me dira pas que j’avais la tĂȘte coupĂ©e et les jambes plantĂ©es dans un bac Ă  fleurs. Il enrobe ça de maniĂšre vague pour que j’aie l’impression d’avoir Ă©tĂ© privilĂ©giĂ©. Il croit me faire plaisir comme s’il s’agissait d’une faveur exceptionnelle, que j’avais Ă©tĂ© invitĂ© Ă  passer la soirĂ©e chez lui. J’ai rĂȘvĂ© de toi cette nuit
 Pour un peu il faudrait remercier d’avoir Ă©tĂ© Ă©lu pour servir de proie aux chacals. B est flattĂ©e. Elle pense incarner l’obsession secrĂšte du type qui lui dit ça. C’est que je dois lui faire pas mal d’effet, il est peut-ĂȘtre amoureux. En tout cas, il m’aime bien. Peut-ĂȘtre veut-il m’épouser ? J’occupe une place particuliĂšre dans son esprit ; si ça se trouve, il vient lui-mĂȘme de s’en apercevoir et en est le premier surpris. C’est chic et courageux de me confier cela, c’est dĂ©jĂ  une dĂ©claration. J’aime bien les hommes comme lui qui disent des choses sincĂšres au lieu de draguer de maniĂšre lourde. Il doit penser Ă  moi toute la journĂ©e pour me voir apparaĂźtre en songe. J’alimente son imaginaire, ses dĂ©sirs, ses fantasmes, il doit projeter de vivre avec moi des scĂšnes extraordinaires. HĂ©las, pourquoi ça n’est jamais comme ça dans la vie quotidienne ? Je reprĂ©sente un idĂ©al, une sorte de princesse, sans doute la femme qu’il aimerait enlever dans une vie merveilleuse. Oui, mais serais-je capable de rĂ©pondre Ă  ça ? Est-ce qu’il ne vaut pas mieux conserver ses belles illusions ? Si son rĂȘve se rĂ©alisait, il serait affreusement déçu. Je prĂ©fĂšre lui tourner le dos ; il pourrait espĂ©rer je ne sais quoi, vouloir concrĂ©tiser sa vision utopique et tout serait perdu. je ne veux mĂȘme pas savoir ce qu’il fait avec mon fantĂŽme, s’il accomplit des gestes obscĂšnes, s’il va contre ma volontĂ© Y panique Qu’a-t-il bien pu Ă©chafauder dans son esprit malade ? A-t-il rĂȘvĂ© que je faisais des choses inconvenantes, que je profĂ©rais des paroles dĂ©placĂ©es, que je me promenais nue, que j’hurlais, hystĂ©rique, en racontant n’importe quoi ? A-t-il rĂȘvĂ© que je roulais les yeux comme une dĂ©mente en Ă©ructant des bribes de vocables incomprĂ©hensibles ? A-t-il rĂȘvĂ© que je me roulais voluptueusement dans une fosse Ă  purin en invoquant un antĂ©christ ou quelque obscur gourou ? Je ne rĂ©ponds en rien de ces visions invraisemblables et qui n’ont rien Ă  voir avec toute vĂ©ritĂ© possible. Je balaye ces allĂ©gations, ces vues dĂ©lirantes de l’esprit et ces dĂ©formations qui m’impliquent malgrĂ© moi. Quelle impression dĂ©sagrĂ©able d’ĂȘtre ainsi associĂ©e Ă  plusieurs scĂšnes honteuses alors qu’on n’y Ă©tait mĂȘme pas. Ainsi, j’occupe vraiment une place dans le cƓur de cet homme, se dit D, attendrie. J’ai une vie autonome qui m’échappe complĂštement et qui lui appartient. C’est comme s’il y avait plusieurs D ; il pense Ă  moi en secret, je me trouve dĂ©multipliĂ©e. Alors que de mon cĂŽtĂ©, je n’ai jamais pensĂ© Ă  lui. Ce type m’a toujours laissĂ©e parfaitement de glace, je le trouve assez terne, et mĂȘme, oserais-je dire, pathĂ©tique. S’il ne m’avait pas abordĂ©e, je n’aurais mĂȘme pas daignĂ© lui adresser un regard. On ne peut jamais savoir quelle importance on a rĂ©ellement pour les gens il m’est soudain devenu sympathique. En fait, ce type est trĂšs intĂ©ressant. Il m’a remarquĂ©e au point de partager avec moi un destin parallĂšle dans le monde du sommeil, comme c’est touchant et amusant. M-A est franchement agacĂ©e Ce type qui n’arrĂȘte pas de me coller avec une insistance Ă  tout casser ose maintenant me dire que malgrĂ© ma froideur et mon ton inflexible, il mĂšne quoi qu’il en soit une existence secrĂšte avec ma sƓur jumelle ou mon double rĂȘvĂ©. Pire, il semble comblĂ© et presque plus heureux que si nous Ă©tions unis dans la rĂ©alitĂ©. Il n’a qu’à faire ce que bon lui semble, poursuivre absurdement ses dĂ©lires licencieux, imaginer que nous sommes nus dans son horrible lit, cela ne me concerne pas du tout. Il peut se figurer que je suis une dĂ©bauchĂ©e et me faire subir toutes ses ignominies
 Je me fiche bien d’ĂȘtre utilisĂ©e Ă  ces fins puisqu’il emploie un clone indĂ©pendant de moi. Je ne veux mĂȘme pas savoir ce qu’il fait avec mon fantĂŽme, s’il accomplit des gestes obscĂšnes, s’il va contre ma volontĂ©, s’il souille ma robe avec son stupre ; est-ce qu’il me touche les seins ? est-ce qu’il soulĂšve ma jupe ? est-ce qu’il me fait laver le sol Ă  quatre pattes ?
 Je reste intacte et pure, n’en dĂ©plaise Ă  ce dĂ©bauchĂ©. Ce n’est pas parce qu’une fĂącheuse rĂ©plique s’est livrĂ©e dans mon dos Ă  des actes impudiques que je dois me sentir coupable. C’est tout de mĂȘme insensĂ©, on dirait qu’il me regarde un peu diffĂ©remment, il m’adresse une mine entendue comme si je devais me souvenir d’une folle aventure. Pourtant je n’ai rien fait, c’est lui qui a eu des pensĂ©es lubriques. F aimerait en savoir plus. Elle pense qu’il tait une partie du rĂ©cit par pudeur et par biensĂ©ance, qu’il n’ose lui dĂ©nombrer les symboles Ă©vidents contenus dans son rĂȘve. Pourtant, elle aimerait ardemment avoir davantage de dĂ©tails, de prĂ©cisions intĂ©ressantes, de confidences hardies venues du beau jeune homme qui fait mine d’évoquer cet Ă©pisode nocturne comme un fait banal. Elle pense Il est timide, il a peur de choquer, il se retient de rĂ©vĂ©ler les parties les plus signifiantes. Elle aimerait bien qu’il ait moins peur, qu’il ose lui parler carrĂ©ment, qu’il la mette au parfum sans pudeur et sans retenue. Ce serait une maniĂšre de lui donner le la. F attend un signal, une sorte de feu vert. Elle est prĂȘte Ă  craquer quand il se dĂ©cidera. Elle prĂ©pare son sourire le plus ensorcelant et fait briller ses yeux. Il est vraiment trĂšs rĂ©servĂ©. Qu’est-ce qu’il est rĂ©servĂ©. Le petit air mutin de F commence Ă  se figer. Le garçon passe Ă  autre chose et s’épanche maintenant sur la fin de son rĂȘve oĂč il Ă©tait question d’un camion de marchandises et d’une route en banlieue.
Cettenuit j’ai rĂȘvĂ© que j’étais Ă  Denver et qu’il y avait beaucoup de neige. D’ailleurs la personne qui Ă©tait avec moi avait tout le cĂŽtĂ© droit congelĂ©. Elle avait de la glace sur le visage. Je me suis aussi vue marcher en escarpins bleus sur les trottoirs enneigĂ©s. Pourquoi Aller au contenu principal Aller au menu principal Aller Ă  la barre latĂ©rale. Cette nuit j’ai
J'ai rĂȘvĂ© de toi cette nuitTu te pĂąmais en mille posesEt roucoulais des tas de choses ... Et moi, comme on savoure un fruit,Je te baisais Ă  bouche pleineUn peu partout, mont, val ou plaine. J'Ă©tais d'une Ă©lasticitĂ©,D'un ressort vraiment admirableTudieu, quelle haleine et quel rĂąble ! Et toi, chĂšre, de ton cĂŽtĂ©,Quel rĂąble, quelle haleine, quelleÉlasticitĂ© de gazelle ... Au rĂ©veil ce fut, dans tes bras,Mais plus aiguĂ« et plus parfaite,Exactement la mĂȘme fĂȘte ! Paul Verlaine Verlaine - Chansons pour Elle 1891 Oeuvres de Verlaine Premiers Vers 1858-66 PoĂšmes saturniens 1866 Les FĂȘtes galantes 1869 La Bonne Chanson 1870 Romances sans paroles 1874 Sagesse 1880 Jadis et NaguĂšre 1884 Amour 1888 ParallĂšlement 1889 Femmes 1890 Chansons pour Elle 1891
Jai rĂȘvĂ© de toi cette nuit. J’ai rĂȘvĂ© de toi cette nuit : Tu te pĂąmais en mille poses Et roucoulais des tas de choses Et moi, comme on savoure un fruit, Je te baisais Ă  bouche pleine Un peu partout, mont, val ou plaine. J’étais d’une Ă©lasticitĂ©, D’un ressort vraiment admirable : Tudieu, quelle haleine et quel rable ! Et toi, chĂšre, de ton cĂŽtĂ©, Quel rable, quelle

l'amour fleurit et flĂ©trit, il est comme une fleur qui passe et trĂ©passe avec le ne dure qu'un instant, qu'un moment ; c'est ce qu'on dit, qu'il est Ă©phĂ©mĂšre, comme la vie, comme la pourtant, malgrĂ© ce moment si court durant lequel on aime, cela peut suffire Ă  tuer ; et ça vous rend malade, d'aimer sans ĂȘtre aimĂ© en retour, et ça vous tue le coeur et l'Ăąme - avez envie de vous Ă©chapper, d'arrĂȘter ça, et c'est votre poitrine qui se gonfle, vos poumons qui s'emplissent ; et vous toussez, encore et ce sont des pĂ©tales de fleurs qui tombent lourdement sur le sol aoĂ»t 2022, hiver. staff Mar 16 AoĂ» - 2313un, deux, trois, soleilft. geronimo diavolot’entends pas vraiment le bus s’arrĂȘter, ni le brouhaha gĂ©nĂ©rĂ© par tous ceux qui se pressent de descendre, celle de geronimo uniquement, qui toute douce, te dit que vous ĂȘtes arrivĂ©e, qu’il te rĂ©veille, comme prĂ©vu, comme promis. sa casquette plus qu’à moitiĂ© sur ta tĂȘte, la couronne tombĂ©e avec le temps, comme l’alcool ayant quittĂ© tes veines, votre nuit de folies qui s’arrĂȘte, qui s’achĂšve et c’est l’heure d’ĂȘtre une adulte, maintenant. ça t’accable un peu, parce que t’as pas envie, pas l’énergie, mais qu’il le faut, pour toi, pour lui, pour cette journĂ©e qui s’annonce dĂ©jĂ  bien compliquĂ©e. rappelle moi ce qu’on fait lĂ  ? vos courses toujours dans les mains, les yeux rivĂ©s sur l’église en face de toi, que tu comprends pas ce que vous faites lĂ . une histoire d’aller bosser, mais vous faites pas la paire la plus pieuse, en tout cas tu fais bien basculer la balance et tu te sens pas trop Ă  ta CampbellpaparazziMessages 74 Mer 17 AoĂ» - 1246 Doris D'assumer nos rĂȘves, d'en rĂ©colter la sĂšve pour les graver dans chaque mur de pierre Alors Ă  ton tour ouvre les yeux, approche-toi et observe avec curiositĂ© Le jour se lĂšve et mĂȘme si ça brĂ»le les yeux on ouvrira grand nos paupiĂšres La tĂȘte de Perry est plus lĂ©gĂšre que les baudruches colorĂ©es des parcs d’attractions, le pĂ©tillant de la veille Ă  du en Ă©vaporer les idĂ©es les plus lourdes, et Gero est un peu fier, d’ĂȘtre un genre de gardien, sans clĂ©s, des traits dĂ©tendus par le sommeil. Il a attendu que les respirations s’allongent en notes Ă  deux temps pour attraper son cellulaire, chercher, les lĂšvres nerveusement mordillĂ©s, l’actualitĂ© de la lutherie Evans, les images de son propriĂ©taire, en effleurer avec le pouce le cadre des lunettes sans parvenir Ă  effacer les reflets qui mangent dans les iris, dommage, il faut qu’il y retourne, c’est viscĂ©ral, cette envie, juste limpide, qu'il est devenu stupide. Leur terminus freine, il vient chercher l’épaule de la rousse, secoue avec douceur, et, Ă  contre coeur, se rend coupable de la sortir de ce qui Ă©tait peut-ĂȘtre un rĂȘve, une Ă©vasion de ce vers quoi il l’ c’est froid, l’essoufflement de la course les a quittĂ©s, Gero frictionne ses bras en jetant les yeux sur l’édifice, des pierres, une croix et la foi, Ă  genoux ou les yeux fermĂ©s, alors les doigts enroulent naturellement la croix argentĂ©e coincĂ©e sous le t-shirt. Ses Ă©paules haussent sur un rictus amusĂ©, le pack fait des chuintements plastifiĂ©s, la hanse mordue dans les trou de mĂ©moire Doris ? Moi, je vais bosser. Avec l’index, il pointe l’échafaud que des collĂšgues ont dĂ©jĂ  mis en place, les planches un peu usĂ©es qui font tomber des sciures de bois, et ça pique quand ça tombe dans les yeux, ça lui est dĂ©jĂ  arrivĂ©. Toi, tu peux te recueillir. J’ai des piĂšces si tu veux une il ira sĂ»rement un peu plus tard, RaphaĂ«l en a besoin, lui, Ă  dĂ©faut de pouvoir passer au centre aussi souvent qu’il le voudrait, il peut faire ça, une flamme et les mains jointes, la piĂ©tĂ© c’est un truc de Di, ça n’a jamais servi Ă  rien, et c'est pas grave, la foi c'est pas fait pour ĂȘtre utile. Les pas avancent jusqu’aux pieds de la structure, oĂč une ribambelle de cris tombent des Ă©tages, il rĂ©pond Ola et attrape le bleu de travail pliĂ© sous le dĂ©jeuner de Perry, ça coince sur les chevilles, l’oblige Ă  dĂ©faire les lacets, s’asseoir dans l’herbe humide pour changer les fais quoi dans la vie Doris ? Tu Ă©tudies ? Les Ă©tudiants avec la vie oisive, ils arrivent parfois sur K’Road, s’encanaillent dans des quartiers oĂč ils peuvent cĂ©der Ă  l'excĂšs peu importe la taille du portefeuille, par contre, ils restent jamais longtemps, c’est des prĂ©noms destinĂ©s Ă  des plaques dorĂ©s, dans des petits bureaux oĂč Gero viendra un jour passer un coup de raclette. C y a l a n aGeronimo Diavololaveur de vitresMessages 37 Ven 19 AoĂ» - 1801un, deux, trois, soleilft. geronimo diavolotu t’en souviens, un peu, brides de conversations qui reviennent, quelques mots qui Ă©mergent, les dĂ©tails perdus dans le flot de l’alcool, mais tu hoches la tĂȘte, tu t’en souviens. nettoyer les vitres d’un Ă©glise ? tu trouves ça un peu injuste que ce soit Ă  lui de s’en occuper, pas Ă  eux, mais tu sais que c’est comme ça que le monde fonctionne alors tu gardes ça pour toi, pas trĂšs bien placĂ©e pour parler de justice, de toute marquĂ©e de la tĂȘte, ce sera pour toi, aprĂšs, je suis pas croyante, c’est bien loin de toi, tout ça. t’as jamais cru en quelque chose de plus grand, jamais cru en la providence. la foi loin du cƓur, loin de la tĂȘte, baignĂ©e dans le vice de l’argent depuis trop longtemps. peut-ĂȘtre que tu devrais, peut-ĂȘtre qu’il t’apprendra Ă  croire, un jour. pas certaine de ce que tu avances, mais tu te plais Ă  prends des photos, moi, nĂ©mo. des photos des autres, des photos du monde. dit comme ça, c’est Ă©lĂ©gant. l’oeil aiguisĂ©, habituĂ© Ă  voir des choses que les autres ne voient pas. je cours aprĂšs les scandales, la misĂšre des autres, c’est ça qui me fait vivre. la peur de le dĂ©cevoir au ventre, que tu fais ça parce que ça marche, parce que ça te rĂ©ussit et t’es forte pour ça, en plus. je prendrais des photos, aujourd’hui aussi, pour me souvenir cette fois-ci rĂȘve Ă©veillĂ©, souvenir que tu veux garder pour CampbellpaparazziMessages 74 Sam 20 AoĂ» - 317 Doris D'assumer nos rĂȘves, d'en rĂ©colter la sĂšve pour les graver dans chaque mur de pierre Alors Ă  ton tour ouvre les yeux, approche-toi et observe avec curiositĂ© Le jour se lĂšve et mĂȘme si ça brĂ»le les yeux on ouvrira grand nos paupiĂšres Les pieds raclent dans la terre, le quadrillage des barres de fers est Ă  l’extĂ©rieur du chantier, c’est salissant comme travail, pourvu que ça ne la gĂšne pas, elle est comme sortie du dĂ©cor des nĂ©ons, Perry, sa chevelure rousse encore en friche de la veille. Geronimo laisse l’air frais le faire renifler, il pense Ă  Jude, puis il oublie, parce que aujourd’hui encore il faut gainer le dos, soulever le seau, reprendre de l’eau. En dĂ©chirant le plastique pour soulever une bouteille, le menton acquise, les carreaux, ça fait un moment, on s’y fait, c’est juste dommage d’ĂȘtre toujours dos au ciel, le spectateur de la vie des n’a pas la foi, et sa langue retrace l’arĂȘte des incisives lentement, vers qui se tourne-t-elle alors, quand le corridor Ă©troit de l’existence s’assombrit, le sort, ça doit ĂȘtre douloureux de l’affronter Doris. Tu viendras avec moi si tu veux. C’est calme Ă  l’intĂ©rieur, je te prĂȘterais un sweat si tu veux t’allonger un peu. Encore une fois, il a du mal Ă  rĂ©primer l’inquiĂ©tude qu’elle soit fatiguĂ©e, peut-ĂȘtre Ă  bout de force, ou bien juste ennuyĂ©e d’ĂȘtre dans ses talons Ă  l’autre bout d'Auckland. ConcentrĂ© sur les lacets qu’il refait, la petite boucle dans la grande, deux fois, sinon ça tient mal, il Ă©coute Doris, Doris la photographe avec des centaines de clichĂ©s pour raconter des histoires, il aimerait les entendre, un jour, si elle veut bien. C’est un beau mĂ©tier photographe. La mĂ©moire c’est tellement prĂ©cieux. La dentition Ă©claire le visage d’un flash de joie, et il pousse la terre avec les paumes pour ĂȘtre bien droit devant le rousse, les souvenirs, peut-ĂȘtre quelque chose qui Ă©chappe encore au troc de l’argent, comptent beaucoup Ă  ses yeux. Tu ne manqueras jamais de travail alors, la misĂšre c’est constant, peut-ĂȘtre plus que la bouffe. Il a saisi l’angoisse dans ls yeux, alors la main enroule sur l’épaule, maladroitement, il frotte, ne saurait pas comment lui dire que peu importe la vie qu’elle mĂšne, aprĂšs tout, le problĂšme, au dĂ©part, c’est cette terre vrillĂ©e, pas les gens qui y naissent. Un sourire qui se veut rassurant brodĂ© en travers du visage, Gero glisse un pied sur le premier barrĂ© et dĂ©tend une main dans sa direction, il n’allait pas la laisser seule et puis la vie est plus belle quand on prend de la hauteur. Ca me fait plaisir Doris. Qu’on ait des souvenirs ensemble. Viens. Tu vas voir, le coin est un coup de chance, la campagne d’Auckland des fois, c’est franchement dĂ©solant, seulement par ici, Gero s’est dĂ©jĂ  Ă©garĂ© et sait que l’hiver n’a pas esquintĂ© le sous bois, qu’on distingue mĂȘme un Ă©levage de kangourous au loin, ça lui plaira, peut-ĂȘtre, en tout cas il l’espĂšre. L’escalade se prolonge en tintements mĂ©talliques et Gero rend les accolades de MikaĂ«l et Fadi, deux gars sympas, taciturnes jusqu’à leur du repas oĂč, c’est vrai il ont l’humour un peu gras, Gero pretextera qu’ils veulent manger ensemble pour s’éclipser Ă  ce moment les planches, de bois usĂ© attachĂ© Ă  des gonds solides, il referme la main prĂšs de la taille sans appuyer, juste, il n’y a pas de barriĂšre, du vent, et, c’est plus fort que lui, il imagine toujours le pire. L’autre bras se dĂ©tend pour englober l’horizon avant de se plaquer en visiĂšre au-dessus des moins joli que les anĂ©mones et les tortues mais c’est quand mĂȘme sympa non ? Pour un premier souvenir, peut-ĂȘtre pas la couverture de notre album mais je le verrais bien sur la deuxiĂšme page. C y a l a n aGeronimo Diavololaveur de vitresMessages 37 Sam 20 AoĂ» - 1457un, deux, trois, soleilft. geronimo diavolol’innocence qui te pince le coeur, le remord aussi, de l’avoir formulĂ© comme ça, de l’entendre te rĂ©pondre comme ça. qu’est-ce que t’as bien pu faire, pour mĂ©riter quelqu’un comme ça dans ta vie ? vĂ©ritable ange tombĂ© du ciel, geronimo qui t’apaise et t’angoisse, qu’il a l’air fragile, votre lien, Ă  tes yeux et t’as peur de tout perdre, de tomber de haut toi aussi. que la dĂ©ception l’emporte. tu pourrais dire non mais tu prĂ©fĂšres accepter, son aide, son pull, tout ce qu’il peut t’offrir, parce qu’il est pas obligĂ© mais il le fait, sans rien en Ă©change. la douceur dans la voix, la dĂ©licatesse dans les gestes, t’as du mal Ă  comprendre, Ă  saisir vraiment d’oĂč ça vient, c’est qu’il a vraiment l’air tout droit sorti d’un film, ton nĂ©mo. c’est joli, dit comme ça, merci de pas te juger, de pas prĂȘter tant d’attention que ça Ă  ce que tu fais. de rester lĂ , avec toi. la montĂ©e vers le ciel plus compliquĂ©e qu’il n’y paraĂźt, le pied pas trĂšs assurĂ© alors que tu suis gero jusqu’au bout, l’impression de gĂȘner, toi qui n’a rien Ă  faire lĂ , qui n’est lĂ  que pour regarder, contempler, le labeur loin de toi, parce que tu te salis pas les mains, pas vraiment. tu fais des pauses, parfois, pour sortir ton tĂ©lĂ©phone et immortaliser l’instant, gero un peu flou devant toi, les nuages en fond, le mĂ©tal qui balance. le monde vu d’en haut est bien diffĂ©rent de celui que tu connais, les possibilitĂ©s infinies, le paysage qui s’étend sans s’arrĂȘter lui non plus. ça me va trĂšs bien, comme couverture tous les deux face au monde, face Ă  auckland, au clair du jour et plus au coeur de la nuit comme hier, une sensation de puissance Ă  te trouver si haut, si libre, loin des contraintes du monde d’en bas, du monde rĂ©el, ici, t’as l’impression de pouvoir ĂȘtre qui tu veux. tu dois voir plein de choses toi aussi, quand t’es tout en haut ici, ailleurs. oĂč alors t’as peut-ĂȘtre pas le temps
 trop facile d’oublier que pour lui, c’est son gagne pain, de monter les Ă©chafaudages, surement un supplice de rester face au soleil, toute la journĂ©e. l’appareil photo en mode portrait, la qualitĂ© qui ne vous rend pas justice, l’épaule collĂ©e Ă  celle de gero et vous voilĂ  pour toujours dans ta mĂ©moire, immortalisĂ©s. je te l’enverrai, CampbellpaparazziMessages 74 Sam 20 AoĂ» - 1614 Doris D'assumer nos rĂȘves, d'en rĂ©colter la sĂšve pour les graver dans chaque mur de pierre Alors Ă  ton tour ouvre les yeux, approche-toi et observe avec curiositĂ© Le jour se lĂšve et mĂȘme si ça brĂ»le les yeux on ouvrira grand nos paupiĂšres Quel soulagement quand c’est facile, le chemin des syllabes qui trouvent un Ă©cho sur les traits harmonieux de Perry, Gero, sent le silence s’envoler de sa cage, respire, lui aussi, l’angoisse s’est dissipĂ©e. Il avait un peu peur que tout ce qui les sĂ©pare, Ă  commencer par l’argent, les empĂȘche de sa parler, ça aurait Ă©tĂ© comme crier Ă  travers le vitrage triple Ă©paisseur, devant lequel, il a toujours l’impression d’assister Ă  un film muet. Doris, elle est pas comme ça, le Di se sent mieux de le savoir, ou bien c’est juste la migraine enfin rĂ©duite Ă  une virgule, un temps de latence entre deux gestes soigneux. Avec ses jolis chaussures, Gero l’imagine plus facilement dans ces restaurants Ă  la devanture parmes et la lettrine dorĂ©e que sur les barreaux raides oĂč il l’entraĂźne, elle dit rien, alors, forcĂ©ment, il ose pas l’aider plus, elle a le droit d’avoir un peu de fiertĂ© Perry, et lui, il est personne pour la froisser. Lorsque la camĂ©ra enferme des clichĂ©s, Gero esquisse des sourires maladroits, comme sa mĂšre lui a appris, mĂȘme Ă  l’époque oĂč il avait la gueule Ă©dentĂ©e et que la petite souris avait fini par rentrer en grĂšve. La charpente grince des rires lugubres que Gero n’entend plus, habituĂ© depuis le temps, Ă  la carlingue lancinante, qu’il monte et dĂ©monte, comme s’il Ă©tait le forum d’un spectacle sans autre mĂ©gaphone que l’écho du vide. Les arpĂšges de la voix de Perry sont un genre de pommade, une forme de croyance, et Gero en a le sang qui boue, fait des taches tomette en dessous des cernes. C’est vrai. Si elle le dit, ça devient dĂ©pend. En ville, c’est rare que je monte assez haut pour voir autre chose que les façades. Il s’interrompt, pour rĂ©flĂ©chir les yeux au coin des amandes, creuser les images de gratte-ciel oĂč culminent les enseignes de multinationales et parfois un polygone de ciel dĂ©fini par les contours gĂ©omĂ©trique, Gero s’y perd, dans le dĂ©dale du capitalisme. Mais des fois quand c’est assez haut, on est suspendu Ă  des cordes et
 Il hĂ©site, rougit, les yeux qui demandent la permission d’ĂȘtre un mĂŽme. j’ai un peu l’impression d’ĂȘtre comme Spiderman. Les yeux se dĂ©tournent, le poignet qui frotte en dessous du nez pour se donner une contenance, Spiderman, c’était son hĂ©ros, Ă  l’époque oĂč c’était encore une ambition d’en devenir un et c’est restĂ©, orgueil embarrassĂ©, de se consoler au bout des fils de nylon. Cette fois, la camĂ©ra change d’objectif, reflĂšte leurs bouilles encore dĂ©confites de la veille, et, nerveusement, il rit, des Ă©clats sincĂšres avec des carillons dedans, pris au dĂ©pourvu, alors, cette expression lĂ , elle est authentique, comme la promesse de Perry Ă  laquelle il hoche briĂšvement le La gratitude coupe le sifflet, Gero pince les lĂšvres avec les dents, grimace espiĂšgle en frottant la semelle sur le bois pour dissiper sa timiditĂ©, les grands garçons ça devrait pas s’émouvoir, Diego ferait siffler des claques par dessus les oreilles. Quand bien mĂȘme, il dĂ©zippe encore le sac, cherche Ă  disposer le pack pour en faire un accoudoir le long de la façade oĂč il lui fait signe de s’asseoir, si elle veut. Lui, il faut qu’il s’y mette, l’eau savonneuse en rideau, l’éponge et ses bruits de succions, puis mĂ©caniquement la raclette qui alterne les passages pour faire disparaĂźtre l’écume Ă  l’odeur de propre, avant de recommencer. Ca va pas prendre trop longtemps. Ils bossent bien les deux en bas aussi. On se pose aprĂšs ?Il enchaĂźne, le travail c’est comme le reste, faut s’y soumettre pour s’en libĂ©rer, les yeux et les outils plongent et lui il lave, en rĂȘvant de douche tiĂšde et des souvenirs de Jude, bercĂ© par le silence de la campagne, la prĂ©sence de Perry Ă  deux pas. Evidemment, il est satisfait d’en terminer, d’aller gratter la pause pour flĂąner, et il a repĂ©rĂ© dans le chevauchement des pierres assez de prise pour dĂ©jeuner sur le toit, presque certain que Perry elle aimera bien, Ă  cheval sur le zinc, si la mousse ne la dĂ©range pas. La hanse du sac passĂ© sur l’épaule, Gero emmĂȘle les phalanges, le profil Ă  la perpendiculaire du mur en montrant le sommet avec le mange lĂ  haut ? Je te fais la courte Ă©chelle. La lueur tendre brille dans les iris et il l’attend, ne partira plus sans elle de toute maniĂšre, la conviction Ă©trange, que dĂ©sormais, ils s’attendront. C y a l a n aGeronimo Diavololaveur de vitresMessages 37 Dim 21 AoĂ» - 1830un, deux, trois, soleilft. geronimo diavolosilencieuse la plupart du temps, l’ouvrage en guise de musique, les raclettes qui claquent contre les vitres, grincent quand il manque de produit, les souffles qui se font court, sous la chaleur, l’effort. presque coupable de rester lĂ , Ă  ne rien faire. le soleil qui embrasse ta peau, doucement, pendant que tu l’écoutes parler de ses rĂȘves, de ses impressions. ça nous fait un point commun, alors parce que si lui explore le monde au bout des fils, comme spiderman, tu l’explores Ă  travers ta camĂ©ra, comme peter parker. deux faces d’une piĂšce, ça te fait sourire, fossettes qui se creusent dans tes nĂ©mo, tu retombes un peu en enfance. pas la tienne, celle dont tu as rĂȘvĂ© pendant des annĂ©es, celle qui te berçait, celle qu’on te racontait. celle que t’as connue Ă  travers un Ă©cran tĂ©lĂ©, celle qui est vĂ©cue dans une bulle de tendresse. le jugement absent, des deux cĂŽtĂ©s, la chance de vivre simplement, sans prise de tĂȘte et t’en oublierait presque ce que tu fais de tes journĂ©es, d’habitude. geronimo qui t’aide Ă  monter au sommet, Ă  te hisser au-delĂ  des autorisations, libre d’entrave, avant de te rejoindre, ton aide superflue, tes bras trop faible pour l’aider Ă  monter, lui aussi. plastique arrachĂ©, un des sandwich que tu gardes pour toi, l’autre que tu lui tends, pour qu’il mange lui aussi, qu’il partage l’instant avec toi, comme toi, parce qu’ici, vous ĂȘtes au mĂȘme niveau, ici, ses difficultĂ©s sont les tiennes, vice versa. point de dĂ©part d’une aventure plus grande que toi, plus grande que vous. tu sais, je maintiens mes propos, pour moi, c’est ça la couverture de notre histoire deux adultes sur un toit, dans le flou d’une existence qui ne tient qu’à un fil, avec comme seule compagnie l’autre et peut-ĂȘtre la foi d’un peu CampbellpaparazziMessages 74 Dim 21 AoĂ» - 2057 Doris D'assumer nos rĂȘves, d'en rĂ©colter la sĂšve pour les graver dans chaque mur de pierre Alors Ă  ton tour ouvre les yeux, approche-toi et observe avec curiositĂ© Le jour se lĂšve et mĂȘme si ça brĂ»le les yeux on ouvrira grand nos paupiĂšres Elle est sage Perry, Ă  peine une arpĂšge tendre pour souligner qu’ils se ressemblent, vivent Ă  la frontiĂšre des clichĂ©s, et Gero ne peut ne pas lui donner tort, pas envie de toute maniĂšre et surtout aucune raison. Peut-ĂȘtre qu’un jour il lui parlera des graffitis, les formes esquissĂ©es Ă  la bombe, pas celles qui dĂ©noncent, pas comme ses tirages, mais un art qui se passent des mots pour Ă©mouvoir. Les doigts se dĂ©robent de l'outil pour appuyer l’ascension de la rousse et gravir le dernier mĂštre, celui qui les sĂ©pare du clocher et la cĂźme du monde oĂč Geronimo oublie la fourmiliĂšre du quartier, un peu coupable, parfois. Le vent gifle ses joues, le soule d’une drĂŽle de façon qui n’a pas grand chose Ă  voir avec la veille, et il dĂ©fait soigneusement l’aluminium autour de la tortilla aux Ɠufs et au thon, Alma elle soufflerait de lassitude, c'est certain. Oui. C’est vrai qu’il pourrait faire un effort. Si Perry et lui se revoient, c’est promis, il utilisera le vieux set de couteaux qu’on lui a offert Ă  la fin de son apprentissage. L’expression contient un sourire, c’est qu’il voudrait pas que Perry voit les miettes coincĂ©s entre les gencives, et il y a la tendresse incrustĂ©e dans ses iris polaires. Geronimo voudrait dire des mots qu'il connaĂźt pas, touchĂ©, par elle, et c'est encore trop maladroit cette expression, y renonce. La tĂȘte balance une approbation lente lorsqu’il essuie le bec du revers et balaye l’horizon gluant de brume, presque mystique, comme Perry et l’épopĂ©e que ses lĂšvres c’est une histoire, il faut un titre. Gero froisse le papier argentĂ© en boule, avant de basculer les jambes en tailleur, une main sur le zinc, c’est pour ne pas perdre l’équilibre, et se donner le temps de la rĂ©flexion. Un truc qui sonne comme Bonnie and Clyde. Ou bien le nom d’une ville. J’aime bien les noms de ville mais j’en connais pas beaucoup. La langue lĂšche les babines, un brin gĂȘnĂ© Gero, quand il le dit, que ses connaissances s’arrĂȘtent sur la page du dernier manuel du primaire, et encore, le temps en a grignoter la plupart des caractĂšres. Oaxaca ? Une ville de son pays. C y a l a n aGeronimo Diavololaveur de vitresMessages 37 Dim 21 AoĂ» - 2303un, deux, trois, soleilft. geronimo diavolotu recherches, depuis ton tĂ©lĂ©phone, oaxaca et google te rĂ©vĂšle une ville haute en couleur, pleine de chaleur, l’allure ravissante, un peu hĂ©tĂ©roclite, carrĂ©ment pittoresque. comme vous. t’es fort, nĂ©mo, pour trouver des choses qui nous ressemblent l’esprit savant, l’imagination lĂ  oĂč il faut. tu connais pas tout ça, toi, ta vie passĂ©e dans les rues d’auckland, Ă  ne voir qu’elles, Ă  en oublier la beautĂ©, l’attrait et ça te fait rĂȘver un peu plus, de penser Ă  tout ce que tu as Ă  dĂ©couvrir. ça Ă  l’air facile, avec lui Ă  tes cĂŽtĂ©s. bonnie and clyde, ça peut ĂȘtre le titre du premier chapitre rencontre fortuite, au dĂ©tour de vos chemins respectifs, vos vies qui ont dĂ©cidĂ© de se croiser et de s’entrelacer, pour toujours on dirait. je trouve que ça sonne bien. la libertĂ© d’explorer un destin diffĂ©rent du leur, de faire des choix diffĂ©rents, moins dangereux. de vivre des aventures totalement diffĂ©rentes, mais fondamentalement, tout aussi attrayantes, c’est ça que tu espĂšres. repas terminĂ©, la digestion qui te rend lourde, faut que tu retournes travailler, maintenant ? je peux essayer de t’aider, si tu veux vaporiser le produit sur les vitres, c’est Ă  ta CampbellpaparazziMessages 74 Mar 23 AoĂ» - 2031 Doris D'assumer nos rĂȘves, d'en rĂ©colter la sĂšve pour les graver dans chaque mur de pierre Alors Ă  ton tour ouvre les yeux, approche-toi et observe avec curiositĂ© Le jour se lĂšve et mĂȘme si ça brĂ»le les yeux on ouvrira grand nos paupiĂšres Sur la toiture sombre, il y a des petits pĂątĂ©s de sedum clairs et des insectes aux couleurs fadasses pour se fondre dans le dĂ©cor. Doris, sa spontanĂ©itĂ© plus criante que sa criniĂšre, inspire de la gaitĂ© dans le morne hivernal, aimante les yeux de Geronimo, son sourire aussi. Les doigts embrassĂ©s sur les emballages, ça le frappe comme le soleil dans la rĂ©tine, le plaisir de la rencontre, et, sans pouvoir se dĂ©tacher, ses amandes accrochent sur les vignettes de l’écran, les douceurs lovent dans ses oreilles en taquinant un orgueil maladroit, plus facile Ă  ignorer qu'Ă  assumer. PlutĂŽt que de rĂ©pondre, ses doigts s'agrippent sur les aspĂ©ritĂ©s de la surface pour se rapprocher et venir fixer avec elle les rues ensoleillĂ©es dont les Di ont emmenĂ© le souvenir dans leurs valises. Troublant comme ça le rend nostalgique, cette mĂ©moire qui n’est pas la sienne, au fond des tripes, Gero se sent polarisĂ© par sa terre natale, sans savoir pourquoi, comment, ça a tapissĂ© sa tĂȘte, l’amour de ses racines. Cette narration Ă  deux voix que Perry lui offre plaĂźt, le Di balance l’épaule contre la sienne, complice, et les iris diaphanes coulent avec espiĂšglerie. Oui. Le premier chapitre. Un livre qui n’a pas besoin de se lire ou de s’écrire. Ça lui ĂŽte un poids. Tu vas rire Doris. Tu seras la premiĂšre personne Ă  m’avoir donnĂ© envie de lire le deuxiĂšme chapitre d’un bouquin. Le rire clair perce doucement la gorge, c’est vrai que, de mĂ©moire, ça n’a jamais Ă©tĂ© son fort la lecture, pas plus la littĂ©rature que les paragraphes de son contrat. La Di remballe les ordures dans le sachet plastique, les miettes, c’est sans importance, ce sera un banquet pour les volatiles qui passeront aprĂšs eux. Il devrait lui dire que ce n’est pas la peine, dĂ©cliner, et puis, la laisser vagabonder oĂč elle veut puisque, aprĂšs tout, Perry n’est pas rĂ©munĂ©rĂ©e. Seulement voilĂ , Gero, il veut pas lui dire non, l’avoir prĂšs de lui ça rend le boulot moins morose, et puis, la rousse lui a demandĂ©, donc ça ne doit pas dĂ©ranger tant que ça. D’accord, mais c’est un peu ennuyeux alors si t’en as marre tu me le dis. Mais Gero, du fond du coeur, il espĂšre qu’elle ne se lassera pas trop vite, du spray, de lui, et que des chapitres, on fera des livres d’images, peut-ĂȘtre plusieurs tomes, ce serait bien. C y a l a n aGeronimo Diavololaveur de vitresMessages 37 Contenu sponsorisĂ© Sauter vers Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum

Manytranslated example sentences containing "j'ai rĂȘvĂ© de toi cette nuit" – English-French dictionary and search engine for English translations.
Au milieu de rĂȘves par millions Surgi comme un torrent Au dĂ©but du printemps C'est quand on ne les attend plus Que sourient les cƓurs perdus Ton sourire Ă  toi Plus tout Ă  fait identique Ni dĂ©jĂ  diffĂ©rent Flottait sur les toits Pareil aux parfums statiques Qu'on encense enfant. Cette nuit ou ce matin C'est trĂšs incertain J'ai rĂȘvĂ© de toi Tu Ă©tais lĂ  Tu avais percĂ© sans bruit Comme un funambule Les filtres de ma nuit Pour te poser en libellule. Puis tu as parlĂ© Les monstres et les fĂ©es Ont signĂ© une trĂȘve Dans mes bois sans sĂšve. Cette nuit ou ce matin Je n'en sais rien J'ai tendu l'oreille Comme on tend l'Ă©cuelle Vers ces mots qui me manquent tant, Vers ce timbre qui envoie tes lettres, Puis tout s'est rallumĂ© plein d'allant Et tu as rejoint tes miettes. Mais cette nuit ou ce matin C'est certain, Tu Ă©tais lĂ  Comme autrefois.
maVSJa.
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