LaLune dans le caniveau (Film complet) STREAMING HD 1983 La Lune dans le caniveau - Apres avoir été violée dans une impasse, Catherine se suicide. Gérard, son frÚre, jure de la venger. C'est le début d'une grande dérive qui va l'amener à rencontrer divers personnages dans les bouges d'un port. Titre original: La Lune dans le caniveau Sortie: 1983-05-12 Durée:

1 2 Track Duration ALBUM VERSION 2005 de Loretta225 ouvriĂšre300 de Catherine212 de la cathĂ©drale205 folie des docks313 de Bella349 Loretta058 de l'impasse341 lune dans le caniveau541 dame de Shanghai259 de l'hĂŽpital051 autre monde144 de Loretta piano solo157 4531 Track Duration TITRES BONUS dĂ©but552 version film414 folie des docks version film310 de Catherine236 Lune dans le caniveau version alternative528 Loretta 2039 de la cathĂ©drale version rapide152 orientale145 folie des docks version rapide049 Loretta 3038 ouvriĂšre version alternative332 de la cathĂ©drale version alternative205 de l'hĂŽpital version film051 de Catherine version film154 folie des docks version alternative131 version alternative411 4107 AjoutĂ© le Mercredi, 05 DĂ©cembre, 2018 En collaboration avec Yad Music, Music Box Records prĂ©sente, pour la premiĂšre fois dans un double CD, l'intĂ©gralitĂ© de la bande originale du film de Jean-Jacques Beineix La Lune dans le caniveau 1983 composĂ©e par Gabriel Yared. En collaboration avec Yad Music, Music Box Records prĂ©sente, pour la premiĂšre fois dans un double CD, l'intĂ©gralitĂ© de la bande originale du film de Jean-Jacques Beineix La Lune dans le caniveau 1983 composĂ©e par Gabriel Yared. La Lune dans le caniveau, adaptĂ© du roman de David Goodis, est le second long mĂ©trage de Jean-Jacques Beineix aprĂšs Diva, film qui a ouvert la voie Ă  une nouvelle esthĂ©tique dans le cinĂ©ma français. Pour ce film aux dĂ©cors faramineux et au casting exceptionnel GĂ©rard Depardieu, Nastassja Kinski, Victoria Abril..., Yared compose une grande partition qu’il qualifie d’opĂ©ra sans paroles ». Le compositeur atteint ici des sommets dans le mĂ©lange Ă  la fois savant et ludique des langages acoustiques et Ă©lectroniques, mais aussi dans son maniement des genres provenant d’époques et de territoires divers fugue flamboyante, tango argentin dĂ©chirant, valse nĂ©o-romantique
. Trois ans avant le culte 37°2 le matin, les jalons de ce tandem gagnant Ă©taient donc dĂ©jĂ  posĂ©s. La prĂ©sente Ă©dition 2 CD a Ă©tĂ© entiĂšrement remastĂ©risĂ©e et restaurĂ©e par Christophe HĂ©nault Ă  partir des sessions d'enregistrement et propose pour la premiĂšre fois l'intĂ©gralitĂ© de la musique par rapport aux prĂ©cĂ©dentes Ă©ditions. Le premier CD reprend le contenu de l'Ă©dition CinĂ©fonia parue en 2005 tandis que le second CD propose des titres bonus incluant morceaux inĂ©dits, maquettes et versions alternatives. Édition limitĂ©e Ă  500 exemplaires. Pour la premiĂšre fois en version intĂ©grale. Édition 2-CD remastĂ©risĂ©e. Livret de 12 pages, notes internes français-anglais par Gabriel Yared. La Lune dans le caniveau est un film français rĂ©alisĂ© par Jean-Jacques Beineix sorti en 1983 avec GĂ©rard Depardieu et Nastassja Kinski. AprĂšs avoir Ă©tĂ© violĂ©e dans une impasse, Catherine se suicide. GĂ©rard, son frĂšre, jure de la venger. C'est le dĂ©but d'une grande dĂ©rive qui va l'amener Ă  rencontrer divers personnages dans les bouges d'un port. Sa quĂȘte lui fait rencontrer la riche Loretta, dont il tombe amoureux au point d'oublier sa maĂźtresse Bella. Jalouse, cette derniĂšre tente de le faire tuer. GĂ©rard en rĂ©chappe et retourne Ă  son obsession, oubliant les deux femmes.... Plus d'infos sur Music Box Records Autres sorties de musique de La lune dans le caniveau 1983

Ils'est réuni à nouveau les 23 et 24 mars pour adopter la résolution ES-11/2, qui réitérait les exhortations formulées dans la résolution ES-11/1 et appelait à la pleine protection des civils, y compris le personnel humanitaire, les journalistes et les personnes vulnérables, et de nouveau le 7 avril pour adopter la résolution ES-11/3, qui suspend l'adhésion de la Russie au
Synopsis AprĂšs avoir Ă©tĂ© violĂ©e dans une impasse, Catherine se suicide. GĂ©rard, son frĂšre, jure de la venger. C'est le dĂ©but d'une grande dĂ©rive qui va l'amener Ă  rencontrer divers personnages dans les bouges d'un port. Offres VOD de La lune dans le caniveau Pas d'offres actuellement. Toutes les sĂ©ances de La lune dans le caniveau DerniĂšres News sur La lune dans le caniveau Jean- Jacques Beineix, mort d’un indocile Le rĂ©alisateur de Diva et de 37°2 le matin s’est Ă©teint hier Ă  75 ans aprĂšs avoir profondĂ©ment marquĂ© le cinĂ©ma français des annĂ©es 80. Par ses films et ses coups de gueule. Casting de La lune dans le caniveau LaMĂ©nitrĂ© 49250 Le 30/08/2022. INITIATION PÊCHE AU COUP DĂ©couvrez le matĂ©riel et laissez vous guider par l’animateur pour attraper vos premiers poissons. Tout le matĂ©riel est fourni et la carte de pĂȘche est offerte aux moins de 12 ans. A partir de 7 ans. Sur rĂ©servation Ă  la Mairie au 02 41 45 63 63 manifestations culturelles autour de MĂ©nitrĂ© Ă©vĂ©nements dans le dĂ©partement
Resumen Índice Texto Notas Cita Autor Resumen L'enseignement des techniques d'expression T. E. reposent, en partie, sur l'Ă©tude d'articles de presse. A travers l'Ă©tude de critiques du film La Lune dans le caniveau Beineix extraites de diffĂ©rents titres de la presse Ă©crite française, l'auteur met en Ă©vidence le fonctionnement d'une situation de communication particuliĂšre dans le cadre d'un projet didactique en de pĂĄgina Entradas del Ă­ndice Inicio de pĂĄgina Texto completo 1 Cf. Pierre DELCAMBRE, "Travail sur la presse analyser aussi les articles "fonctionnels" de la pre ... 2 Sur la dĂ©finition du concept de "compĂ©tence de communication", tel qu'il peut ĂȘtre utilisĂ© en didac ... 3 Cf. le libellĂ© de ce sujet d'examen A travers ces diffĂ©rentes prĂ©sentations du film de Micheangelo ... 10. Dans le premier numĂ©ro du Bulletin du Certe, l'un des membres de ce groupe de recherche faisait remarquer, Ă  juste titre, qu'un travail sur la presse Ă©crite, effectuĂ© dans une perspective d'analyse, ne pouvait reposer prioritairement et/ou exclusivement sur des articles isolĂ©s, tirĂ©s du journal Le Monde, sous prĂ©texte que ce quotidien constitue la lecture habituelle des enseignants. Il stigmatisait ainsi "l'ethnocentrisme de classe"1 que manifesterait le recours frĂ©quent, voire quasi constant Ă  ce support. Mais il laissait Ă©galement penser - et hĂątivement - que l'enseignement des "Techniques d'Expression" dĂ©sormais s'opĂ©rait principalement, en ce qui concerne l'analyse de presse sur des textes tirĂ©s du Monde. C'est oublier que l'enseignement des - fondĂ© sur ce qu'on pourrait dĂ©finir rapidement comme l'autonomie mĂ©thodologique constituĂ©e par l'appropriation/l'amĂ©lioration d'une "compĂ©tence de communication"2 - lorsque la presse Ă©crite est sollicitĂ©e. comme objet d'Ă©tudes et auxiliaire pĂ©dagogique, tout Ă  la fois, repose toujours sur un texte et/ou un discours situĂ© dans ses conditions de production et de rĂ©ception "rĂ©elle" et "fictive". C'est dire que l'utilisation de la presse Ă©crite passe toujours soit par l'Ă©tude d'un texte pris dans un support ie le journal oĂč il a Ă©tĂ© publiĂ©, quelqu'il soit, soit par l'analyse comparative de textes publiĂ©s dans des journaux diffĂ©rents, pour tenir compte du fait que la presse constitue un champ de discours qui "se rĂ©pondent". Ainsi, le premier sujet d'examen Ă©crit donnĂ© en Licence Ă  Lille 1978, puisqu'il faut le rappeler, portait sur un corpus de prĂ©sentations du film L'Avventura, parues dans diffĂ©rentes 4 Film français de Beinex ; coproduction Gaumont, TF1, OpĂ©ra Films ; photographie Philippe Rou ... 5 Cf. Patrick Charaudeau, Langage et discours. ElĂ©ments de sĂ©miolinguistique thĂ©orie et pratique, P ... 21. Pour poursuivre cette "sĂ©rie", qui s'appuie sur un type "discursif" le compte-rendu critique d'un film dans le genre "information", je voudrais proposer ici quelques lignes directrices d'investigation d'un corpus constituĂ© par des articles publiĂ©s dans diffĂ©rents quotidiens nationaux lors de la prĂ©sentation et sortie au Festival de Cannes de Mai 1983, du film de Jean-Jacques Beineix, La Lune dans le Caniveau4. Je prĂ©cise qu'il s'agit bien, non pas d'Ă©laborer des outils conceptuels gĂ©nĂ©raux d'analyse du discours, mais de mettre en Ă©vidence des fonctionnements et des phĂ©nomĂšnes propres Ă  "une situation de communication", et susceptibles de fournir aux Ă©tudiants - en formation initiale notamment - des repĂ©rages Ă  un stade rĂ©flexif. Mais pourquoi particuliĂšrement le film de Beineix, plutĂŽt qu'un autre ? Parce que Beineix a connu, avec son prĂ©cĂ©dent et premier film DIVA, un rĂ©el succĂšs public Ă  retardement, en France entrĂ©es environ et Ă  l'Ă©tranger Etats-Unis en particulier, alors que les critiques cinĂ©matographiques des journaux l'avaient ignorĂ© ou - plus rarement - prĂ©sentĂ©, mais souvent avec un jugement dĂ©favorable. Ce nouveau film plaçait donc les critiques dans une situation doublement surdĂ©terminĂ©e et/ou surdĂ©terminante, ou, pour reprendre le concept de P. Charaudeau, dans un "contrat de parole" prĂ©cis5 rendre compte d'un film sĂ©lectionnĂ© officiellement par le Festival de Cannes avec ce qu'implique comme contrainte et choix le compte rendu critique "prĂ©sentation/jugement" tenir compte ou pas du succĂšs du film prĂ©cĂ©dent acquis indĂ©pendamment d'eux, en dĂ©pit d'eux ou malgrĂ© eux. Il faut ajouter que les autres mĂ©dias tĂ©lĂ©vision, radio n'avaient pas manquĂ©, avant la projection du film de Beineix, de crĂ©er "l'Ă©vĂ©nement" par le rappel du succĂšs "par le bouche Ă  oreille" sic de Diva. par l'Ă©cho fait au point de vue de Beineix, critiquant les critiques pour leur incomprĂ©hension face Ă  un "nouveau langage cinĂ©matographique". 6 Cf. notamment Europe n°1, jeudi 12 mai, 8 H 30, Ă©mission d'Yvan LEVAI, recevant BEINEIX Q ... enfin, par l'exploitation de la polĂ©mique Beineix rĂ©alisateur, N. Kinski actrice "principale", "fanatiquement pour" vs G. Depardieu acteur "principal", "sceptique sur la rĂ©ussite du film"6. Ce film de Beineix plaçait donc les critiques cinĂ©matographiques de la presse Ă©crite en position de quasi accusĂ©s et les comptes rendus effectuĂ©s avaient donc presque nĂ©cessairement Ăą se situer dans le cadre de cette problĂ©matique ; chaque participant au "dĂ©bat" ainsi structurĂ© devait rĂ©pondre, nolens volens, explicitement ou implicitement, ou refuser de rĂ©pondre Ă  cet enjeu particulier. 7 Ce qui signifie exclusion des hebdomadaires interventions "Ă  froid", et des quotidiens rĂ©gionau ... 32. Pour ne pas multiplier les variables, je n'ai retenu comme journaux que les quotidiens nationaux les plus rĂ©pandus, parus le mĂȘme jour le Vendredi 13 Mai 1983, lendemain de la projection du film Ă  Cannes7. J'ai fait figurer Ă  la fin de cette prĂ©sentation les diffĂ©rents articles uniques ou multiples parus dans chaque journal en les classant dans l'ordre alphabĂ©tique constituĂ© par les titres respectifs des journaux. en les reproduisant au besoin avec rĂ©duction au format 21/27 tels qu'ils se prĂ©sentaient dans la page oĂč ils ont Ă©tĂ© publiĂ©s. en les faisant prĂ©cĂ©der de "l'appel" Ă  la lecture prĂ©sent en premiĂšre page du journal, lorsque cet appel existait et renvoyait ainsi aux pages intĂ©rieures. Ces articles, parus le Vendredi 13 Mai sont au nombre de 11 - LE FIGARO art. de Guy Lagorce, "Parlez-moi d'humour" n°1.art. de Claude Baignieres, "Le Tout-Ă -l'Ă©gout" n°2- FRANCE-SOIR art. de Jacqueline Cartier "Beineix dĂ©clenche la premiĂšre bataille de Cannes" n°3.art. de Robert Chazal, "La Lune dans le caniveau... et le cinĂ©ma dans l'impasse" n°4.- LE MONDE art. de Claire Devarrieux "Un cauchemar, et l'Inde en costumes" n°5- L'HUMANITE art. de François Maurin, "Bas fond de luxe" n°6- LIBERATION art. de Serge Daney "Splatch" n°7art. de Serge Daney " Beineix, objectif lune
 Tintin !" n°8interview rĂ©alisĂ©e par Louis Skorecki "Je dĂ©fie le jury de la critique" Beineix. n°9.art. de GĂ©rard Lefort "Vos images m'intĂ©ressent" n°10.art. de Michel Chion "La camĂ©ra dĂ©saffectĂ©e comme un loft" n°11. 43. L'analyse de corpus, menĂ©e dans la perspective constituĂ©e par la didactique des peut porter sur des points multiples et variĂ©s. J'en Ă©voquerai rapidement quelques uns, pour retenir surtout l'angle d'attaque mentionnĂ© plus haut Beineix, Diva et la critique 5- Organisation hiĂ©rarchique de l'Ă©vĂ©nement importance accordĂ©e par chaque journal repĂ©rable Ă  la prĂ©sence ou Ă  l'absence Ă  la "Une", Ă  l'indication des rubriques, au nombre et Ă  la densitĂ© des articles, Ă  la prĂ©sentation typographique etc
 il est clair que c'est LibĂ©ration annonce Ă  la "Une" quatre - des huit pages consacrĂ©es au Festival - pages portant sur le film de Beineix ; cinq articles de type diffĂ©rent qui a accordĂ© le plus d'importance Ă  La lune dans le caniveau. Mais tous les journaux retenus, en dehors du Figaro, signalent l'Ă©vĂ©nement en premiĂšre page et y consacrent un article L'HumanitĂ©, Le Monde ou deux articles Le Figaro, France-Soir. L'appel en premiĂšre page de France-Soir est Ă  noter plus de la moitiĂ© de la premiĂšre page, et une photo lĂ©gendĂ©e de N. Kinski sans rapport avec la raison du "scandale" et les deux articles qui figurent en page intĂ©rieure. On reconnaĂźt lĂ  le rĂŽle spĂ©cifique d'incitation Ă  l'achat tenu par la premiĂšre page de France-Soir. 8 Donc, Ă  l'exclusion ici, de la chronique de Guy Lagorve "Parlez moi d'humour" et de celle de Jacq ... 6- Titres et rapport des titres aux articles presque tous les titres des articles qui sont directement consacrĂ©s au film de Beineix 8 portent un jugement nĂ©gatif ; "Le tout-Ă -l'Ă©gout" Le Figaro, "La lune dans le caniveau et le cinĂ©ma dans l'impasse" France-Soir, "Bas-fonds de luxe" L'HumanitĂ©, " Beineix, Objectif Lune
 Tintin !" LibĂ©ration seuls les deux titres de l'article du Monde "Un cauchemar et l'Inde en costumes" - La lune dans le caniveau, Chaleur et poussiĂšre" ne portent pas un jugement explicite. Le rapport des titres aux articles respectifs se rĂ©vĂšle par ailleurs intĂ©ressant si l'article, bref, de Claude BaigniĂšres dans Le Figaro va exactement dans le mĂȘme sens que dans celui suggĂ©rĂ© par le titre qui lui a Ă©tĂ© donnĂ©, l'article de Robert Chazal dans France-Soir est "nuancĂ©" et se termine mĂȘme par un commentaire relativement Ă©logieux, qui tranche avec la condamnation donnĂ©e par le titre ; une Ă©tude plus poussĂ©e de ce rapport titre/article renvoit ainsi aux diffĂ©rentes utilisations qui sont possibles des fonctions du titre et de son rapport - complexe - Ă  l'article. 7- ÉlĂ©ments d'information mentionnĂ©s donnĂ©s/non donnĂ©s, dans tel ou tel ordre, avec tels ou tels temps et mode de narration et jugements portĂ©s sur l'Ă©vĂ©nement c'est Ă  une analyse de contenu et plus encore Ă  une analyse de discours qu'il faudrait recourir ici pour rĂ©pondre de maniĂšre valide Ă  cet objet d'Ă©tude. Je me contenterai de signaler ce qui m'a semblĂ© le plus significatif en l'occurrence le fait que le film de Beineix ne soit pas prĂ©sentĂ© dans son contenu, son dĂ©roulement et sa mise en scĂšne exemple "Le tout-Ă -l'Ă©gout", dans Le Figaro oĂč seul fonctionne un jugement explicite et nĂ©gatif ou le fait qu'au contraire ces Ă©lĂ©ments filmiques soient mentionnĂ©s exemple "La lune dans le caniveau... ou le cinĂ©ma dans l'impasse", dans France-Soir, qui mĂȘle jugement explicite ou implicite et prĂ©sentation. On peut, Ă  un autre niveau, confronter les deux articles, brefs et nĂ©gatifs, du Figaro et de L'HumanitĂ© "Bas-fonds de luxe" ; dans le premier cas, le jugement explicite exclut quasiment la prĂ©sentation, alors que dans le deuxiĂšme cas il ne l'exclut pas etc.... 9 Dont il faut redire aussi qu'il est des diffĂ©rents journaux consultĂ©s celui qui - de loin - accor ... 8- ManiĂšres de se situer par rapport au succĂšs de Diva et Ă  la polĂ©mique engagĂ©e Seul l'article du Figaro, "Le tout-Ă -l'Ă©gout", ne fait aucune mention ni de Diva et de son succĂšs Ă  retardement, ni de la polĂ©mique engagĂ©e autour du second film de Beineix. Sa briĂšvetĂ© ne peut d'ailleurs rendre compte de cela l'article de L'HumanitĂ©, de dimension identique, commence par le rappel de "l'immense succĂšs sic de Diva", et se trouve appelĂ© Ă  la "Une" par les quelques lignes qui lĂ©gendent la photographie de GĂ©rard Depardieu, et qui Ă©voquent l'attente comme du "messie, en ce jour d'ascension" du "rĂ©alisateur de Diva Ă  la camĂ©ra". Mais, mĂȘme dans ce second cas, l'auteur de l'article, François Maurin ne s'inscrit pas dans le rapport au succĂšs de Diva Ă  plus forte raison, encore moins dans la polĂ©mique suscitĂ©e par le second film. Au contraire, Robert Chazal, dans France-Soir, ouvre son article par l'inscription du deuxiĂšme film de Beineix dans une Ɠuvre personnelle " Beineix a eu au moins un mĂ©rite celui d'ĂȘtre fidĂšle Ă  lui mĂȘme", mĂȘme si c'est pour ajouter "c'est-Ă -dire Ă  son goĂ»t immodĂ©rĂ© pour le tape Ă  l’Ɠil" ; il mentionne de plus "le succĂšs Ă  retardement de Diva, sur lequel on n'a pas fini de s'interroger". Cette derniĂšre sĂ©quence assure toutefois le flou, en particulier parce qu'elle ne laisse pas entrevoir que "le succĂšs Ă  retardement" par la rencontre d'un public s'est fait en dehors des critiques lui mĂȘme, notamment. L'article du Monde, "Un cauchemar et l'Inde en costumes", dĂ©bute d'une maniĂšre assez semblable c'est le deuxiĂšme film de Beineix qui "s'est trop fait remarquer avec Diva y compris au sens pĂ©joratif de l'expression" et fonctionne donc sans faire figurer la part - ou la non part - prise par les critiques Ă  ce phĂ©nomĂšne. Mais la suite prĂ©cise en plus la polĂ©mique qui a prĂ©cĂ©dĂ© la sortie Ă  Cannes de La lune dans le caniveau "la prĂ©sentation Ă  Cannes Ă©tait prĂ©cĂ©dĂ©e d'une rumeur nĂ©gative". En tout cas, dans ces deux articles tirĂ©s de France-Soir et du Monde, en dehors de leurs diffĂ©rences, les introductions respectives permettent aux lecteurs de situer le second film de Beineix dans son rapport au premier. C'est uniquement dans LibĂ©ration, d'abord avec la prĂ©sentation gĂ©nĂ©rale effectuĂ©e dans la premiĂšre des huit pages consacrĂ©es au Festival de Cannes "Splatch" de Serge Daney, ensuite avec l'article d'une page qui porte sur le film " Beineix, objectif lune Tintin !" de Serge Daney que les lecteurs ont droit au rappel clair et explicite d'une part du succĂšs de Diva d'autre part de la polĂ©mique engagĂ©e autour du second film de Beineix, enfin de l'inexistence du rĂŽle tenu par les critiques dans la diffusion de Diva "Beineix opus 2 aura donc Ă©tĂ© saluĂ© par quelques quolibets et des sifflements mous. N'importe l'aprĂšs-Diva est commencĂ© et Beineix en est Ă  la fois le symptĂŽme et le prophĂšte. Il Ă©tait peut-ĂȘtre inĂ©vitable que la critique, dont le rĂŽle avait Ă©tĂ© nul dans le succĂšs-culte de Diva se rue rigoureusement sur La lune dans le caniveau. L'occasion Ă©tait trop belle, puisqu'il s'agit, effectivement, d'un grand ratage." Bref, des cinq quotidiens nationaux retenus, quatre - avec des degrĂ©s divers - ne signalent pas les circonstances du succĂšs de Diva et un seul les indique. Les critiques rĂ©pondent ainsi, Ă  leur grande majoritĂ©, par le silence au contrat de discours qui leur Ă©tait donnĂ©. D'oĂč une question comment et pourquoi ignorer ou feindre d'ignorer, en dehors de LibĂ©ration,9 que des lecteurs qui ne s'arrĂȘtent pas au titre, ce qui est un parcours possible de lecture du journal puissent aussi Ă©couter radios ou tĂ©lĂ©visions, sinon parce qu'en l'occurrence le dĂ©bat constituait une remise en cause du pouvoir de la presse Ă©crite dans l'institution de "l'information" et provoquait la politique de l'autruche ? Le FigaroArt. De Guy Laforge, n°1 Ve 13 mai 1983Pas d’annonce en premiĂšre page ni au sommaire Le Figaro, Art. de Claude BaigniĂšres, n°2. France-Soir, Ve 13 mai 1983, 1Ăšre page. France-Soir, Ve 13 mai 1983, n°3. France-Soir, Ve 13 mai 1983, rubrique "Critique", n°4. Le Monde, Samedi 24 mai 1983, 1Ăšre page. Le Monde, Samedi 24 mai 1983, art. n°5. L’HumanitĂ©, Ve 13 mai 1983, 1Ăšre page. L’HumanitĂ©, Ve 13 mai 1983, François Maurin, n°6. LibĂ©ration, Ve 13 mai 1983, annonce 1Ăšre page. LibĂ©ration, Ve 13 mai 1983, annonce premiĂšre des 8 pages consacrĂ©es au Festival de Cannes par LibĂ©ration/Les Cahiers du CinĂ©ma. Art. de S. Daney, n°7. LibĂ©ration, Ve 13 mai 1983, art. de S. Daney, n°8. LibĂ©ration, Ve 13 mai 1983, art. de G. Lefort, n°10. Art. de M. Chion, n°11. Inicio de pĂĄgina Notas 1 Cf. Pierre DELCAMBRE, "Travail sur la presse analyser aussi les articles "fonctionnels" de la presse quotidienne", in Bulletin du Certe, Lille, n°1, DĂ©cembre 1982, Al-A12. 2 Sur la dĂ©finition du concept de "compĂ©tence de communication", tel qu'il peut ĂȘtre utilisĂ© en didactique des langues, oĂč il est conçu de maniĂšre diffĂ©rente par rapport Ă  son sens originel concept de Dell Hymes, contestation et extension du concept chomskyen de compĂ©tence, je renvois Ă  Daniel COSTE, "Lecture et compĂ©tence de Communication", in Le Français dans le Monde, n°141 ; Nov./DĂ©c. 1978, pp. 25-33 et Ă  Sophie MOIRAND, Enseigner Ă  communiquer en langue Ă©trangĂšre, Paris, Hachette, Coll. F, 1982, en particulier Partie I, pp. 8-41. 3 Cf. le libellĂ© de ce sujet d'examen A travers ces diffĂ©rentes prĂ©sentations du film de Micheangelo Antonioni L'Avventura 1959, rediffusĂ© rĂ©cemment Ă  la tĂ©lĂ©vision française fĂ©vrier 1978, vous essaierez, en Ă©tudiant les points de ressemblance et de diffĂ©rence, les publics visĂ©s et les situations d'Ă©mission de ces textes, de dĂ©finir la stratĂ©gie propre Ă  chacun d'entre eux et l'image gĂ©nĂ©rale du film qui s'en I DĂ©claration d'Antonioni lors du Festival de Cannes II RĂ©pertoire des films de l'UFOLEIS, programmation 1973/1974 rĂ©pertoire des films disponibles Ă  l'usage des animateurs de cinĂ©-clubs de la Ligue française de l'Enseignement.Textes III PrĂ©sentation du film dans des hebdomadaires de tĂ©lĂ©vision lors de sa rediffusion TĂ©lĂ© 7 joursb TĂ©lĂ©ramaTextes TV PrĂ©sentation du film lors de cette rediffusion dans un hebdomadaire d'information gĂ©nĂ©rale Le Nouvel Observateur notes de Josselina n°690 du ; b n°691 du 4 Film français de Beinex ; coproduction Gaumont, TF1, OpĂ©ra Films ; photographie Philippe Rousselot ; montage Monique Prim ; interprĂ©tation GĂ©rard Depardieu, Victoria Abril, Nastassia Kinski, Bertice Reading, Vittorio Mezzogiorno. 5 Cf. Patrick Charaudeau, Langage et discours. ElĂ©ments de sĂ©miolinguistique thĂ©orie et pratique, Paris, Hachette Coll. Langue, Linguistique, Communication, 1983. On sait que P. Charaudeau met en place, entre autres concepts, pour rendre compte de ce qui s'accomplit dans un acte de langage, du "contrat de parole" pour dĂ©signer le projet de communication conçu par un "sujet communicant Ă  un sujet destinataire", en fonction "des libertĂ©s et contraintes" de "reconnaissance et de connivence". Dans le cadre de ce "contrat de parole" chaque "sujet communicant" dĂ©termine "une stratĂ©gie de parole", "mise en scĂšne de ses intentions de façon Ă  produire certains effets de conviction ou de sĂ©duction sur le sujet interprĂ©tant pour amener celui-ci Ă  s'identifier - consciemment ou non - au sujet destinataire idĂ©al construit par le sujet communicant" ouvr. citĂ©, p. 50. 6 Cf. notamment Europe n°1, jeudi 12 mai, 8 H 30, Ă©mission d'Yvan LEVAI, recevant BEINEIX Q "Depardieu trouve votre film mauvais" - R "le producteur aussi" jeudi 12 mai, journal de 13 H, prĂ©sentĂ© par Yves MOUROUSI en direct de Cannes Ă©vocation du "mini scandale" constituĂ© par ce film - Antenne 2, jeudi 12 mai, journal de 12 H 45, en direct de Cannes, interview de N. Kinski Q "Depardieu s'est plaint du film" - R "Je ne sais pas ce qu'il a dit, je lui en parlerai quand je le rencontrerai" etc
 7 Ce qui signifie exclusion des hebdomadaires interventions "Ă  froid", et des quotidiens rĂ©gionaux rapport diffĂ©rent au succĂšs ou Ă  l'Ă©chec d'un film lors de sa sortie "nationale", la presse parisienne apparaissant comme le "juge" privilĂ©giĂ© au moment de la prĂ©sentation d'un film. Le Matin de Paris n'est pas citĂ© dans ce papier de travail, parce qu'il a rencontrĂ© ce jour lĂ , des difficultĂ©s d’impression et de diffusion, qui ont abouti Ă  sa quasi absence des kiosques de province. 8 Donc, Ă  l'exclusion ici, de la chronique de Guy Lagorve "Parlez moi d'humour" et de celle de Jacqueline Cartier "Beineix dĂ©clenche la premiĂšre bataille de Cannes". 9 Dont il faut redire aussi qu'il est des diffĂ©rents journaux consultĂ©s celui qui - de loin - accorde le plus d'importance quantitativement et qualitativement au film de Beineix. De plus les journalistes de LibĂ©ration ont travaillĂ© avec les rĂ©dacteurs des Cahiers du cinĂ©ma qui ont, Ă©videmment, un autre de pĂĄgina Índice de ilustraciones TĂ­tulo Le FigaroArt. De Guy Laforge, n°1 CrĂ©ditos Ve 13 mai 1983Pas d’annonce en premiĂšre page ni au sommaire URL Ficheros image/jpeg, 644k TĂ­tulo Le Figaro, Art. de Claude BaigniĂšres, n°2. URL Ficheros image/jpeg, 232k TĂ­tulo France-Soir, Ve 13 mai 1983, 1Ăšre page. URL Ficheros image/jpeg, 1,5M TĂ­tulo France-Soir, Ve 13 mai 1983, n°3. URL Ficheros image/jpeg, 648k TĂ­tulo France-Soir, Ve 13 mai 1983, rubrique "Critique", n°4. URL Ficheros image/jpeg, 676k TĂ­tulo Le Monde, Samedi 24 mai 1983, 1Ăšre page. URL Ficheros image/jpeg, 64k TĂ­tulo Le Monde, Samedi 24 mai 1983, art. n°5. URL Ficheros image/jpeg, 1008k TĂ­tulo L’HumanitĂ©, Ve 13 mai 1983, 1Ăšre page. URL Ficheros image/jpeg, 336k TĂ­tulo L’HumanitĂ©, Ve 13 mai 1983, François Maurin, n°6. URL Ficheros image/jpeg, 724k TĂ­tulo LibĂ©ration, Ve 13 mai 1983, annonce 1Ăšre page. URL Ficheros image/jpeg, 80k TĂ­tulo LibĂ©ration, Ve 13 mai 1983, annonce premiĂšre des 8 pages consacrĂ©es au Festival de Cannes par LibĂ©ration/Les Cahiers du CinĂ©ma. Art. de S. Daney, n°7. URL Ficheros image/jpeg, 240k TĂ­tulo LibĂ©ration, Ve 13 mai 1983, art. de S. Daney, n°8. URL Ficheros image/jpeg, 1,3M TĂ­tulo LibĂ©ration, Ve 13 mai 1983, art. de G. Lefort, n°10. Art. de M. Chion, n°11. URL Ficheros image/jpeg, 1,3M Inicio de pĂĄgina Para citar este artĂ­culo Referencia en papel Claude Gillet, La lune dans le caniveau ou les medias dans l'embarras», Études de communication, 3 1983, A52-A73. Referencia electrĂłnica Claude Gillet, La lune dans le caniveau ou les medias dans l'embarras», Études de communication [En lĂ­nea], 3 1983, Publicado el 28 abril 2012, consultado el 27 agosto 2022. URL DOI de pĂĄgina Autor Claude Gillet ArtĂ­culos del mismo autor ou plutĂŽt... pourquoi pas ? Publicado en Études de communication, 1 1982 Publicado en Études de communication, 1 1982 Patrick Charaudeau, Paris, Hachette UniversitĂ© - Coll Langue, Linguistique, Communication - 1983, 176 p. Publicado en Études de communication, 2 1983 Dominique Lecourt. Paris, Grasset, 1981, 348 p. Publicado en Études de communication, 2 1983 Annie Cipra, Christian Hermelin. Paris, Ă©d. Retz, 1982, 192 p. Publicado en Études de communication, 2 1983 The dangers of misuse of Jakobson's functions of language Publicado en Études de communication, 2 1983 Todos los textos... Inicio de pĂĄgina Derechos de autor All rights reservedInicio de pĂĄgina
LerĂ©alisateur est dĂ©cĂ©dĂ© jeudi Ă  son domicile parisien, ont indiquĂ© Ă  l’AFP son frĂšre Jean-Claude, ainsi que sa femme et sa fille. Il est mort des suites d’une longue maladie. Pour certains, Beineix restera le rĂ©alisateur de Diva (1981), CĂ©sar de la meilleure premiĂšre oeuvre l’an suivant, puis de La lune dans le caniveau (1983
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The text's repeating refrain encourages young readers, while 9 pages of informational notes about 18 animals, Charles Darwin and more will delight future naturalists BiografĂ­a del autor Laurie Krebs draws inspiration for her books from her adventures around the world. She is a former teacher from Connecticut, USA, and a mother and grandmother. She is the author of many globe-trotting titles for Barefoot Books, including We All Went on Lovesick 2014 - Charlie Darby a tout pour lui un excellent travail, des amis sympathiques et une famille qui l'aime. Mais ce qu'il lui manque par-dessus tout, c'est une copine. Malheureusement, Charlie perd ses moyens et devient fou dĂšs qu'il se retrouve trop proche d'une fille. 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But his animal friends are sure there's no such thing as a shipwreck . . . until one fateful night when the barge gets loose . . . in a storm! A fire boat comes to the rescue, and all the animals enjoy their tour around the harbor with New York's Bravest! This rollicking tale was illustrated by Tibor Gergely, who also illustrated Scuffy the Tugboat. BiografĂ­a del autor Frenchman GEORGES DUPLAIX was one of the key people behind the launch of the Little Golden Books in Regarder La Lune dans le caniveau 1983 Film Streaming VF Gratuit, [Film-VF] La Lune dans le caniveau Film Complet Gratuit 1983 Vf Francais 🎬 Regarde Maintenant đŸ“„ TĂ©lĂ©charger La Lune dans le caniveau 1983 Streaming Vf Français Complet Gratuit La Lune dans le caniveau - Apres avoir Ă©tĂ© violĂ©e dans une impasse, Catherine se suicide. GĂ©rard, son frĂšre, jure de la venger. C'est le dĂ©but d'une grande dĂ©rive qui va l'amener Ă  rencontrer divers personnages dans les bouges d'un port. Titre original La Lune dans le caniveau Sortie 1983-05-12 DurĂ©e 126 minutes Score de 16 utilisateurs Genre Drama,Thriller,Crime Etoiles GĂ©rard Depardieu, Nastassja Kinski, Victoria Abril, Bertice Reading, Gabriel Monnet, Dominique Pinon, Milena Vukotić Langue originale French Mots-clĂ©s rape, french noir Slogan Critiques Regarder La Lune dans le caniveau En Ligne Justwatch La Lune dans le caniveau 1983 Film Regarder ~ Vous pouvez Ă©crire, La Lune dans le caniveau 19 Lee un libro Knuffle Bunny Free An Unexpected Diversion Knuffle Bunny Series de Mo Willems libros ebooks, Knuffle Bunny Free An Unexpected Diversion Knuffle Bunny Series Libro pdf gratis 📘 Lee Ahora đŸ“„ Descargar Knuffle Bunny Free An Unexpected Diversion Knuffle Bunny Series de Mo Willems DescripciĂłn - CrĂ­ticas 'This denouement is enough to give you goose bumps, and young readers may be wiping the tears from their parents' cheeks. Good night, Knuffle Bunny.'-Booklist starred review Reseña del editor While traveling with her family to Holland to visit her grandparents, Trixie once again loses her beloved Knuffle Bunny, in an epic love story filled with the joys and sorrows of growing up. 300,000 first printing. Contraportada Trixie and her family are off on a fantastic trip to visit her grandparents—all the way in Holland! But does Knuffle Bunny have diffe Lee un libro Rain Forest Relay Race the Wild de Kristin Earhart Libros Gratis en EPUB, Rain Forest Relay Race the Wild ePub Mobi 📘 Lee Ahora đŸ“„ Descargar Rain Forest Relay Race the Wild de Kristin Earhart DescripciĂłn - Reseña del editor When Russell entered the race, he knew it was going to be a wild ride. Especially the first race course! He'd been studying up on the Amazon's animals and culture forever. But nothing could prepare him or his teammates for what they'd find in the rain forest raging rapids, poisonous venom, and sneaky competitors who'd do anything to win. Can the red team work together to make it to the finish line in one piece? Each chapter in this action-packed adventure series is bursting with totally true facts about wild and wonderful creatures, dangerous habitats, maps, and more! BiografĂ­a del autor Kristin Earhart grew up riding horses, pestering her cat, and reading books a LIBRO Anya's Secret Society de Yevgenia Nayberg PDF ePub, lee en linea Anya's Secret Society gratis 📘 Lee Ahora đŸ“„ Download Anya's Secret Society de Yevgenia Nayberg DescripciĂłn - CrĂ­ticas Lefties get short shrift in Russia, so Anya forms an imaginary secret society for lefty artists. As Nayberg explains in this book's postscript, a tradition of conformity in Russia has created a taboo against left-handedness. Right is right and correct, and left is not. So Anya, a lefty, is forced to learn to write and do everyday tasks with her right hand, reserving her left hand for her artwork, which she does when she is alone. Surrounded on the page with Nayberg's antique-looking, movement-filled illustrations, Anya learns that some extremely famous artists-Leonardo, Rembrandt, and Michelangelo-were left-handed. With their spirits, she forms a 'secret lefty society' that meets at night to 'talk, laugh, and draw. And they would draw with
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L’univers dĂ©calĂ© de Tim Burton en musique
 Ce mercredi, The DĂž avait dĂ©cidĂ© de planter ses quartiers Ă  l’Ancienne Belgique de Bruxelles. AprĂšs avoir bouclĂ© une saison de festivals qui a mis leur nom dans la bouche des amateurs de musique, le duo franco-finlandais poursuit sur cette voie de notoriĂ©tĂ© publique l’inconnu attire. Sur base de cet adage et de leur rĂ©putation grandissante, je suis parti Ă  la dĂ©couverte totale de The DĂž. L’intime salle de l’Ancienne Belgique n’était pas tout Ă  fait pleine, bien que le public bruxellois n’ait pas failli Ă  sa rĂ©putation. Mais les prĂ©sents en ont eu plein les yeux et les eux, Olivia Merilahti, une princesse finlandaise, venue Ă  la rencontre de fidĂšles pour peupler son monde. The DĂž a construit un univers sur lequel elle rĂšgne d’une maniĂšre Ă©poustouflante. Sa voix est envoĂ»tante et sa prestance scĂ©nique impressionnante. Bref, elle ne manque de rien. Elle est sublime ! En quelques chansons seulement, elle devient la souveraine de nos cƓurs. Si nous sommes Ă©blouis par ce qui Ă©mane du groupe, pas une seule tĂȘte ne se dĂ©tourne des lĂšvres de la chanteuse scandinave. Au point que lors d’un silence noir abandonnĂ© au beau milieu d’un titre, tout parait se figer. La salle devient silencieuse, comme si chacun cessait de respirer. Quand la chanson reprend ses droits, l’air nous parvient de nouveau, l’ambiance renait en un Ă©clat de voix. Ce royaume, dans lequel nous sommes aspirĂ©s, recĂšle une magie inexplicable, invisible, immatĂ©rielle. Et qu’est-ce qu’elle fait du bien! C’est aussi le seul empire au sein duquel les gouvernants partagent ce qu’ils ont de plus nous quittons la rĂ©alitĂ© des murs de la salle bruxelloise. On croise des situations insensĂ©es, des combinaisons improbables sur cette route hors du commun, et pourtant, jamais l’envie de faire demi-tour ne nous envahit. Ce qui peut paraĂźtre un peu fade sur Cd prend une autre dimension sur scĂšne. On pourrait ainsi imaginer une traduction musicale de l’univers dĂ©calĂ© de Tim Burton. Et si l’espace d’un instant je pense Ă  vous, la peur de ne pas avoir les mots pour retranscrire cette fantastique soirĂ©e me laissĂ©e par ce spectacle, qui s’est dĂ©roulĂ© ce 12 octobre, dans cette salle de l’Ancienne Belgique, n’a pas le pouvoir d’en sortir. C’est la tĂȘte pleine de souvenirs, de musiques, d’envies d’encore que je ressors de ce concert. Mon esprit continue de vagabonder quelque temps avant de reprendre sa place. Mais ce foisonnement d’idĂ©es est Ă©galement accompagnĂ© d’une promesse celle de retourner Ă  la conquĂȘte de ce plaisir que The DĂž m’a procurĂ© pendant une heure et glissera un petit mot aussi en faveur de Paper The Fox qui assurait la premiĂšre partie. Leurs mĂ©lodies Ă©lectro bercĂ©es par un violon avaient dĂ©jĂ  entrouvert une porte sur une soirĂ©e chargĂ©e de promesses...Organisation ABVoir aussi notre section photos Spanish Rose C’est toute la chaleur de l’Espagne qui s’est invitĂ©e ce 9 octobre au Club de l’AB. Pas de match Belgique-Espagne au programme, mais le passage attendu de la jolie Lourdes HernandĂšz. DerriĂšre le ton Russian Red de son rouge Ă  lĂšvres, elle venait prĂ©senter les compositions Ă©maillant Fuerteventura », un second recueil qui l’approche lentement mais sĂ»rement du devant de la tube I Hate You But I Love You » et ses accents folky n’ont pas Ă©chappĂ© Ă  l’oreille attentive des mĂ©lomanes de tous bords. PortĂ© par une voix dĂ©licate et des accords de guitares mariant efficacement folk, americana et pop, Russian Red s’inscrit dans la lignĂ©e de ces projets tout Ă  fait banals, mais dont le tout petit truc en plus pousse l’auditeur Ă  s’y attarder. Et surtout davantage qu’il ne l’aurait, Ă  priori. Ce petit plus, on le doit Ă  Lourdes HernandĂšz et Ă  son dĂ©licieux timbre de voix rehaussĂ© d’un lĂ©ger accent hispanique. La salle n’est pas comble mais donne cette impression, le public patientant dans sa majoritĂ© les fesses Ă  terre. Mais l’heure de se lever a tĂŽt fait de sonner. La jeune femme s’avance sur le podium de l’ABClub, sur le coup des 20h40. EntourĂ©e de deux musiciens, elle s’arme d’une Ă©norme guitare avant d’entamer son set par The Memory Is Cruel », extrait du dernier nĂ© de Russian Red. HernandĂšz remercie son public d’ĂȘtre venu si nombreux et lui adresse quelques mots dans sa langue natale. Lorsque tu vois toutes les mains se lever, tu comprends que t’aurais mieux fait d’ĂȘtre un peu plus attentif pendant tes cours d’espagnol. Des extraits de Fuerteventura » s’intercalent entre ceux de I Love Your Glasses », premier du nom. Acclamations pour le single I Hate You but I Love You » placĂ© assez tĂŽt dans la setlist. On se dit alors que la petite va avoir du mal Ă  tenir en haleine les petits curieux de mon genre ; mais elle finit par y parvenir Ă  l’aide des efficaces The Sun, The Trees », Every Day Every Night », Cigarettes Revisited » et January 14th ». En bout de course, la MadrilĂšne offre Ă  son public une version retravaillĂ©e et interprĂ©tĂ©e dans sa langue natale du All My Little Words » de Magnetic Fields, rĂ©intitulĂ©e pour l’occasion Todas Mi Palabras ». Une reprise d’une reprise, comme l’expliquera la chanteuse avant d’entamer son rappel, Russian Red rĂ©itĂšre l’exercice de l’adaptation dans une version impeccable du Baby, It’s You » des Beatles, avant de s’éclipser et de rĂ©apparaĂźtre une ultime fois pour des au revoir’ acoustiques. A Hat » clĂŽture la prestation de la jeune femme qui s’éclipse sous les acclamations de ses compatriotes. Ils en auraient d’ailleurs volontiers goĂ»tĂ© une quatriĂšme part. Mais point trop n’en faut.Organisation Ancienne Belgique Les dingues et les paumĂ©s Ă©taient au rendez-vous Cinq ans aprĂšs sa tournĂ©e Scandale MĂ©lancolique’, qui passait par l’AB, HFT Ă©tait de retour Ă  Bruxelles, au Cirque Royal trĂšs exactement, ce samedi 8 octobre 2011, pour un SupplĂ©ment de Mensonges’ que nous aurons vite fait de lui pardonner. Et ce n’est donc pas l’heure de retard pour problĂšme technique qui va changer grand-chose Ă  la donne. Le bar a tournĂ© un peu plus qu’à l’accoutumĂ©e et faute d’autorisation de fumer –lĂ©gale ou illĂ©gale– dans l’enceinte du Cirque –oui, mĂȘme pour ThiĂ©faine !– le public a animĂ© de sa prĂ©sence les rues avoisinantes histoire de tuer l’attente, en ce dĂ©but de soirĂ©e. Les fidĂšles les plus fervents n’ont quant Ă  eux pas quittĂ© leur siĂšge, des fois que !21h00 prĂ©cises, les musiciens s’installent Marc Perrier Ă  la basse, Alice BottĂ© Ă  la guitare, Christopher Board ça ne s’invente pas ! aux claviers et Jean-Philippe Fanfant, Ă  la batterie. Et l’homo sapiens Ă  l’honneur apparaĂźt comme si nous l’avions quittĂ© hier, dans son jeans noir et sa chemise blanche, rehaussĂ©e d’une cravate une salle pleine Ă  craquer, Hubert-FĂ©lix ThiĂ©faine dĂ©marre son set par Annihilation » l’inĂ©dit glissĂ© dans le Best-hier » de 2009. Il fallait y penser. Le son des premiĂšres minutes n’est pas bon, mais les esprits sont ailleurs, Ă  l’affĂ»t de la prestation si rare du bonhomme sur nos terres. La moitiĂ© de l’album SupplĂ©ments de mensonge » est passĂ©e en revue dont, en ouverture, FiĂšvre rĂ©surrectionnelle », annoncĂ©e par les salutations d’usage puis une citation d’Aloysius Bertrand Et le soleil ouvrit ses cils d’or sur le chaos des mondes’. S’ensuivent Infinitives voiles » et Petit matin heure d’étĂ© », compos entrecoupĂ©es des incontournables que sont Lorelei sĂ©basto cha » et Soleil cherche futur ». Entre les morceaux, le ton est Ă  l’humour lĂ©ger, HFT se dĂ©fendant de faire l’apologie de la drogue en dĂ©fiant quiconque de se shooter avec une amanite phalloĂŻde
 repris en chƓur par le public et suivi du blues ensorcelĂ© de Solexine & Ganja », de 113e cigarette » et d’un Narcisse » taillĂ© dans le rock. TrĂšs scolairement, il nous explique aussi qu’aprĂšs avoir ĂŽtĂ© tous les titres parlant de sexe, de drogue ou de Dieu, ne restaient au final que 12 minutes de spectacle. confidence est au rendez-vous pour L’étranger dans la glace », Ă©crit en souvenir de cet ami souffrant de la maladie d’Alzheimer. Sur scĂšne, ses dĂ©hanchĂ©s suggestifs et son aplomb rendraient presque jaloux, tous les quadras/quinquas de la salle, rĂȘvant secrĂštement d’avoir encore son Ă©nergie au mĂȘme Ăąge et balaient d’un mĂȘme coup les jĂ©rĂ©miades des grands déçus qui ne sentent plus ThiĂ©faine habitĂ© par ses morceaux comme il a pu l’ĂȘtre. Mention spĂ©ciale pour Le chant du fou », chuchotĂ© dans un silence clĂ©rical sur le ton rauque de ceux qui ont connu un autre ailleurs, dans un dĂ©placement théùtral achevĂ© par une gĂ©nĂ©reuse carte blanche aux musiciens. Le concert se termine par Alligator 427 », dans la lourdeur dĂ©lectable des instruments et des volutes bleues qui se forment dans la salle. Chapeau bas aux musiciens, et plus spĂ©cialement Ă  Alice BottĂ©, qui, en plus d’avoir une guitare dans les mains et dans le ventre, remercie chaleureusement le public pour sa prĂ©sence et son dĂ©jĂ , l’heure des rappels, dont La fille du coupeur de joints », repris en chƓur par un public un peu foufou, certains se prenant pour des chefs d’orchestre d’un soir faisant balancer de droite Ă  gauche leur long bras, d’autres improvisant une espĂšce de jerk dĂ©mantelĂ© sur ce classique sautillant
 AprĂšs deux bonnes heures de concert, le bistrot ferme dĂ©finitivement ses portes sur Lobotomie sporting club », et ces deux derniers mots sans appel fin comme annoncĂ©, cette tournĂ©e devait ĂȘtre l’ultime, le bourdon de ce dernier concert risque de rĂ©sonner longtemps encore au clocher de nos nostalgies
 Set list AnnihilationFiĂšvre rĂ©surrectionnelleLorelei sĂ©basto chaSoleil cherche futurInfinitives voilesPetit matin heure d’étĂ©Le chant du fouConfession d’un never beenLes dingues et les paumĂ©sL’étranger dans la glaceSweet amaniteSolexine et Ganja113e cigaretteNarcisseGarbo XW MachineMathĂ©matiques souterrainesTa vamp orchidoclasteLa ruelle des mortsAlligators 427R1 Les ombres du soirR2 La fille du coupeur de jointsR3 Lobotomie sporting club Voyage au bout de l’ennui Vendredi soir sur la terre, comme chantait l’autre. Les lumiĂšres de la nuit commencent Ă  se reflĂ©ter Ă  la surface des flaques d’eau et Bruxelles m’aspire dans son long Ɠsophage au transit bien ralenti. Trois heures aprĂšs mon dĂ©part de LiĂšge, je me retrouve enfin face Ă  l’Ancienne Belgique, oĂč d’emblĂ©e, mes amis me rassurent. Oui, j’ai bel et bien ratĂ© la premiĂšre partie. Oui, j’ai bien fait. Non, ce n’était pas bien terrible. as de regrets donc d’avoir manquĂ© Crystal Antlers, dont le set Ă©tait, suivant la rumeur, assez indigeste. La prĂ©sence d’Ikey Owens, producteur des Mars Volta, derriĂšre les claviers ne m’ayant pas franchement inspirĂ© confiance, je confesse volontiers un certain montent sur scĂšne les trois True Widow, mes grandes espĂ©rances fondĂ©es sur l’écoute de divers titres disponibles sur la toile chavirent quelque autant d’enthousiasme qu’un trio de paresseux sous antidĂ©presseurs, notre combo texan se lance, tel un Phoenix engluĂ© dans une marĂ©e noire, dans un concert au ralenti qui jamais ne prendra son envol
Une heure d’ennui profond, d’une platitude morne oĂč les musiciens semblent traĂźner les pieds. Pas la moindre envolĂ©e, et les quelques tentatives amorcĂ©es ne parviendront jamais Ă  rĂ©animer un scan dĂ©sespĂ©rĂ©ment voix au diapason restant timidement emprisonnĂ©es dans les gorges, la seule envie qui me titillera sera un repli vers le bar. NĂ©anmoins, je me suis efforcĂ© de tenir bon, espĂ©rant un quelconque sursaut d’énergie qui hĂ©las, n’est jamais sont effectivement trĂšs bons sur disques, True Widow ne nous a rien prouvĂ© ce soir. Rien dans le ventre. Sorte de Low neurasthĂ©nique sic ! sans dĂ©sir ni passion, et donc loin du gĂ©nie de mais pas vaincus, mes amis et moi quittons l’Ancienne Belgique en direction des bars de Bruxelles oĂč l’entrain est quand mĂȘme tout AB Noah & Sons ? Écrit par TaĂŻ Votre serviteur avait quittĂ© Noah and the Whale –dont le nom est issu d’une combinaison entre le film prĂ©fĂ©rĂ© d’un membre du groupe, The Squid and the Whale », et celui du rĂ©alisateur amĂ©ricain Noah Baumbach– en 2008, lors de la sortie de leur premier et magnifique album Peaceful, the World Lays Me Down », opus qui avait squattĂ© mon IPod pour de nombreux mois, tant il me rappelait le folk tout en fragilitĂ© des AmĂ©ricains de Neutral Milk Hotel voire de Micah P. Hinson. Curieusement, une sĂ©rie de malencontreuses coĂŻncidences ne m’a jamais permis de dĂ©couvrir les deux albums suivants, publiĂ©s par les insulaires
 Qu’importe, leur musique chargĂ©e d’émotion m’avait suffisamment bouleversĂ©e Ă  l’époque pour que je dĂ©cide de me procurer un ticket, Ă  l’annonce de leur passage Ă  l’Ancienne Belgique de Bruxelles. En outre, leur rĂ©pertoire d’alors ne me permettait pas d’imaginer que la formation allait rĂ©colter un tel succĂšs, aujourd’hui. Quelle n’a donc pas Ă©tĂ© ma surprise en dĂ©couvrant une salle comble, pour accueillir le band, et surtout pour applaudir les nouvelles chansons d’ A Night on Earth », le dernier nĂ© de Noah et ses sbires. Un disque qui doit probablement cartonner sur les radios au Nord du pays ; car la popularitĂ© du combo demeure relativement confidentielle en Wallonie ! DĂšs les premiers accords, je me rends compte que l’ensemble qui se produit ce soir n’est plus ou n’a jamais Ă©tĂ© celui que je pensais connaitre ! Les dĂ©licats Give a Little Love » et Shape of my Heart », interprĂ©tĂ©s en dĂ©but de set, sont artificiellement gonflĂ©s Ă  l’électricitĂ©. Et les sonoritĂ©s dispensĂ©es par la basse sont trop puissantes ; elles asphyxient carrĂ©ment une expression, Ă  l’origine, raffinĂ©e. Charlie Fink et ses acolytes enchaĂźnent des hymnes rock Ă  tendance celtique, Ă  la maniĂšre de Mumford & Sons. La prestation n’est cependant pas dĂ©rangeante ni dĂ©sagrĂ©able ; bien torchĂ©e, elle libĂšre mĂȘme Ă©normĂ©ment d’énergie. Mais je n’y retrouve plus ce supplĂ©ment d’ñme que j’avais cru dĂ©celer Ă  travers la magnifique voix du chanteur, finalement aussi dĂ©cevante, ce soir. Une bonne heure de concert plus tard, le public est conquis. Manifestement, Noah and the Whale est taillĂ© pour les stades. Mais il vient de perdre un de ses fans de la premiĂšre heure
 Organisation AB + Live Nation Dans la cour des grands Certains concerts marquent Ă  jamais de leur empreinte la mĂ©moire et l’imaginaire. Pour diverses raisons, parfois trĂšs subtiles. Pour trois enfants ĂągĂ©s de onze, neuf et huit ans, ce tout premier concert avec papa ça, c’est moi, cette soirĂ©e restera tout simplement inoubliable. C’est que peu de monde peut se targuer d’avoir Ă©tĂ© le pĂŽle d’attraction de l’artiste pendant toute une soirĂ©e. Compte-rendu au travers des yeux d’enfants Ă©merveillĂ©s par la simplicitĂ© et la gentillesse d’une grande soir, pas de cirque, pas de cinĂ©ma, mais pour la toute premiĂšre fois, un concert avec papa. Nous dĂ©couvrons les jardins du Botanique et nous nous amusons dans ses allĂ©es. Quand papa nous rappelle Ă  l’ordre. C’est qu’il n’a pas envie du tout de rater le dĂ©but du concert ! Et puis, vu notre taille, mieux vaut rentrer parmi les premiers, histoire de jouir d’une vue imprenable sur la scĂšne. L’attente est un peu longue, mais elle vaudra assurĂ©ment le EMA monte sur scĂšne, le violoniste s’est dĂ©jĂ  lancĂ© dans une intro sombre et tourmentĂ©e. Les jeux de lumiĂšres ajoutent une aura particuliĂšre et nous plongent directement dans l’ambiance. EMA pour Erika M Anderson de son vrai nom se lance alors dans un spoken word habitĂ© qui plante le peine avons-nous fini d’applaudir Ă  tout rompre que le morceau suivant s’enchaĂźne. La musique semble bancale, osciller entre douce folie et rage contenue. Maman dirait que ça sonne faux. Et papa rigolerait bien. EMA, elle, s’en moque pas mal, parce qu’elle a l’air complĂštement absorbĂ©e par son chant. Elle est habitĂ©e par sa musique. Quand elle interprĂšte Grey Ship », son navire tangue et menace d’ĂȘtre englouti par les flots, mais en capitaine de son navire ivre, la capitaine redresse l’embarcation et conduit le morceau Ă  bon port. IntensĂ©ment vibrant, cette plage s’échoue doucement sur les rivages d’un dĂ©sespoir mal contenu. Simplement Milkman », le groupe se fend d’une reprise des Violent femmes Add It Up » tout simplement renversante. S’ensuivent la totalitĂ© des titres issus de son magistral premier album, Past Life Martyred Saints », qui tous donnent cette improbable sensation d’ĂȘtre en Ă©quilibre prĂ©caire au-dessus du vide sans jamais menacer de avec justesse et Ă©motion, dĂ©luge sonore et ambiances sombres, cette artiste fragile sous ses airs de foldingue elle porte une chaĂźne autour du cou, comme un chien, c’est rigolo ! transporte la salle et comble le public qui pour la majoritĂ© dĂ©couvre ce soir tout son la vraie alchimie du moment, elle s’est dĂ©roulĂ©e entre elle, mon frĂšre et ma sƓur. Car touchĂ©e par notre prĂ©sence, EMA a confiĂ©, Ă  plusieurs reprises, son rĂ©el bonheur de voir des enfants au-devant de la scĂšne. Un cadeau pour elle, un vĂ©ritable souvenir inoubliable pour nous, qui avons mĂȘme eu le privilĂšge de gratter sa guitare en pleine sĂ©ance de larsens. HĂ© ! Vous en connaissez beaucoup qui Ă  nos Ăąges respectifs ont fait du noise sur la scĂšne de l’Orangerie ?TransposĂ©s dans une autre dimension, nous l’avons contemplĂ©e se dĂ©hancher, onduler, psalmodier, s’extasier et enfin s’offrir complĂštement dans un show d’une rare de semblants mais de vraies Ă©motions au bout d’un rappel terminĂ© dans la poussiĂšre d’un Red star » intense et ne pouvions partir sans la rencontrer, et c’est elle qui est venue Ă  nous, aussi gentille et simple que lorsqu’elle se produisait quelques minutes auparavant. La star du jour nous demandant de prendre la pose en sa compagnie pour une sĂ©rie de photos immortalisant cette nuit magique que nous n’oublierons jamais. Merci Madame EMA, vous ĂȘtes une grande Botanique L’étĂ© indien A l’aube d’un nouveau soir perdu dans les brumes de ma perdition, mes pas m’ont guidĂ© vers une une frontiĂšre singuliĂšrement mal dĂ©finie, entre folk, psychĂ©dĂ©lisme, electronica et expĂ©rimentations parmi les hommes ou simple quidam Ă©garĂ© dans la foule, absorbĂ© par les ombres et les Ă©chos rĂ©percutĂ©s en lointaines rĂ©verbĂ©rations, j’ai observĂ© le monde des vivants et tentĂ© de me souvenir
A nouveau, un homme seul face Ă  ses machines. Si le concept n’est en soi pas dĂ©rangeant, ce choix est surprenant de la part d’un artiste pratiquant une musique qui Ă©volue entre Blues et guitare, mais Ă©normĂ©ment de matĂ©riel, de cĂąbles, d’effets en tous final, Alexander Tucker a dispensĂ© un set relativement agrĂ©able, au cours duquel sa voix bouclĂ©e et rĂ©pĂ©tĂ©e Ă  l’infini se perd dans les notes diluĂ©es de six cordes je dois confesser une rĂ©elle dĂ©ception due Ă  un amour inconditionnel pour les performances live non peut-ĂȘtre simplement suis-je devenu un vieux con ?Mais des guitares, en voici, en n’y a pas si longtemps, Adam Granduciel, leader des War On Drugs comptait au sein de sa formation le gĂ©nial Kurt de celui-ci, la musique n’a cependant pas souffert de la cheval sur les terres de glorieux ancĂȘtres Springsteen, Dylan, Ă©peronnant sa monture Ă  coups d’aiguilles psychotropes, The War On Drugs se rapproche au final, dans ses moments de grĂące, de Mercury Rev ou de Pink Floyd. Quoique soulignĂ©e de subtiles digressions solo proches d’un certain Dinausor Jr., l’expression sonore conserve une empreinte forte et personnelle. LĂ©gĂšrement linĂ©aire, le concert dessine le portrait d’une AmĂ©rique moderne, mais aux couleurs automnales, reposant sur des valeurs ancrĂ©es, sources d’inspirations pour les gĂ©nĂ©rations quatuor de Philadelphie fait la part belle Ă  son dernier opus, en l’occurrence le trĂšs recommandĂ© Slave Ambiant ». Manifestant une certaine dĂ©contraction, il me semble trĂšs Ă  l’aise et heureux d’ĂȘtre gentilles vannes adressĂ©es au public, un peu de Whiskey partagĂ©, et surtout, un set efficace, pour un dĂ©but de soirĂ©e placĂ© sous la banniĂšre le monde m’attend. Sous un orage diluvien, je m’éloigne dans le AB Oh Happy Day Un petit tour dans le passĂ©. Ce jeudi 15 septembre, l’AB reconstituait involontairement un Ă©pisode de la sĂ©rie culte Happy Days’. Chemises Ă  pois rouges et Stilettos pour ces dames, bananes gominĂ©es et blousons en cuir pour ces messieurs. Ce soir c’est Rockabilly et look fifties Ă  tous les Ă©tages. Normal, la salle bruxelloise accueille la fratrie la plus anachronique du moment Kitty, Daisy & y a quelques mois, l’AB annonçait le passage en ses murs des frangins Durham. Le tout en configuration salle. On imaginait bien les trois Britons remplir une ABBox mais demeurait quelque peu sceptique sur leur capacitĂ© Ă  combler la grande salle. Finalement, au jour J, Kitty, Daisy & Lewis n’ont pas vraiment eu de quoi rougir de honte. Devant eux se dressait un parterre plein Ă  craquer. Et la fermeture des balcons du second Ă©tage portait presque prĂ©judice au public, qui s’est retrouvĂ© aussi Ă  l’étroit que dans une boĂźte Ă  sardines. Sur scĂšne, les trois musicos au talent incomparable rĂ©servent une surprise de taille Ă  leur public. Jusqu’ici la petite Kitty, la grande Daisy et le charmant Lewis nous avaient habituĂ©s Ă  un set Ă  trois, en rangs serrĂ©s. Cette fois, la famille Durham est au grand complet ; et pour cause, la progĂ©niture a emmenĂ© papa et maman sur les routes d’Europe et au-delĂ  ! Daddy Durham se fait discret sur le cĂŽtĂ© gauche de la scĂšne, armĂ© de sa guitare. Mama Weiss, elle, se cale derriĂšre une contrebasse Ă  l’autre extrĂ©mitĂ© de l’estrade. Au milieu, leur enfants se placent tour Ă  tour derriĂšre des instruments et des micros qu’ils vont s’échanger tout au long de la soirĂ©e. Smoking In Heaven ». Le ton est donnĂ©. Swing, Rockabilly, Blues et quelques notes de Ska vont se relayer durant prĂšs d’1h20. Remarquable pour son jeune Ăąge, la formation affiche de plus en plus d’assurance sur les planches. Entre les morceaux, la petite famille reste concentrĂ©e et switche les positions en silence. Ce qui rĂ©vĂšle une AB distraite et bruyante, un trait qui devient de plus en plus caractĂ©ristique du public de la salle bruxelloise. Pas le temps de rĂąler, Don’t Make A Fool Out Of Me », interprĂ©tĂ© par Lewis, chauffe l’auditoire en trois coups de gratte. En milieu de parcours, le trio invite un certain Eddie Thorton rejoindre la troupe. Le gugusse dĂ©barque sur le podium, trompette Ă  la main, prĂȘt Ă  en dĂ©coudre avec le public belge. Le JamaĂŻcan donne le La’ du petit quart d’heure Ska. Une discipline qui opĂšre son apparition au sein de trois morceaux de Smoking In Heaven », le deuxiĂšme LP de Kitty, Daisy & Lewis, publiĂ© quelques mois plus tĂŽt. Tomorrow », I’m So Sorry » et Hold Me Tight » s’enchaĂźnent ; et le gars, surnommĂ© Tan Tan’ ne s’essouffle pas une seconde. Les jeunes musicos ferment la danse sur deux moments forts, Messing With My Life » au groove puissant et un Say You Will Be Mine » Ă©pique. PrĂšs de 10 minutes-marathon durant lesquels chaque membre du clan Durham se relaiera le temps d’un morceaux en guise de rappel et le tour est jouĂ©. Pour Kitty, Daisy & Lewis l’heure de gloire Ă  manifestement sonnĂ©. D’aucuns ne douteront plus jamais de leur capacitĂ© Ă  remplir et secouer une assemblĂ©e de la taille de l’ AB + Live Nation La lune dans le caniveau C’est une nuit chaude. C’est une nuit moite et oppressante. Une de ces nuits zĂ©brĂ©es d’éclairs silencieux qui s’étendent frĂ©nĂ©tiquement au dessus de la tĂȘte des foule dense se presse aux portes du Magasin une de ces nuits d’oĂč Ă©mane le parfum des souvenirs d’une autre Ă©poque. Une nuit oĂč la lune se rĂ©vĂšle mystĂ©rieuse et chargĂ©e de sens. Une nuit hors du temps mais qui s’en imprĂšgne. Une nuit qui suspend son envol, retenant le bruissement de ses ailes pour Ă©couter cette douce mĂ©lodie flottant dans l’air. Et ce soir, Ă  l’intĂ©rieur, l’air devient sensiblement de plus en plus lourd, Ă©touffant, au fur et Ă  mesure que la salle se scĂšne, le LiĂ©geois Phil Maggi actif notamment au sein d’Ultraphallus commence patiemment la construction d’une architecture alambiquĂ©e qui bientĂŽt envahit totalement l’espace l’on peut lĂ©gitimement s’interroger sur la pertinence de ce genre de performances somme toute passablement inerte, oĂč il n’est guĂšre aisĂ© de s’extasier devant un savant qui accomplit minutieusement son expĂ©rience, complĂštement absorbĂ© par son propre univers, au grand dam d’un auditoire pas toujours convaincu, reste Ă  saluer l’inĂ©branlable foi de l’artiste accouchant d’une l’ensemble tient de la gageure, que seul un fou comme moi s’autoriserait Ă  donc un aperçu bancal d’une prestation pyramidale ayant connu son apogĂ©e dans un malstrom bruitiste BBBrrrrrrrrkkkksssssssstikfiiiiiiiirrrrrrrrrggghhmmmmtttfff-blip-crrrrrrrrrrrrrrrrrvvvvvvoomoomoomoOMMMMOOOMMMFFFFFFFFFFTTTTTTTSSSSSSSSSSRZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZLa relative efficacitĂ© de ce pĂąle descriptif ne devant pas vous distraire de l’essentiel. A savoir, pour hypnotique et transcendantale que puisse ĂȘtre ce type de composition bruitiste, le peu d’apport visuel crĂ©e immanquablement un vide difficile pour l’esprit Ă  fait, Phil Maggi envisagerait d’aprĂšs certains Ă©chos glanĂ©s ce soir de s’adjoindre la complicitĂ© de danseuses lors de ces prochaines prestations. A bon entendeur
Quelques bouffĂ©es d’air frais volĂ©es au dehors par l’entremise d’une porte de secours entrouverte, permettent aux plus tĂ©mĂ©raires des non-fumeurs d’attendre sagement l’arrivĂ©e du groupe pendant que votre serviteur prĂ©fĂšre, lui, s’échapper par la porte principale et sacrifier quelques fibreuses muqueuses pulmonaires au Dieu ciel rougeoyait et se dĂ©chirait par endroits. Dans les volutes bleutĂ©es, se dessinait le retour au sein de l’ musiciens, forcĂ©ment plus trĂšs jeunes de Tuxedomoon pĂ©nĂštrent alors sur la pointe des pieds. Cueillis par les applaudissements enthousiastes, aussi bien que par la pesante atmosphĂšre, les membres du groupe entament leur set sur un mode feutrĂ©es qui se dĂ©coupent avec grĂące sur les immenses tentures pourpres avant de doucement prendre une orientation plus Ă©lectro, une fois quelques problĂšmes techniques entre la boĂźte Ă  rythme et les retours expĂ©rimentations jazzy et intĂ©gritĂ© Rock, le plus belge des combos amĂ©ricains n’ayant jamais tranchĂ© pour le meilleur d’une discographie irrĂ©prochable ils nous offrent ce soir un bouquet Ă©clatant Ă©pinglant une majeure partie de titres plus anciens, Ă  l’intention des fans de la premiĂšre heure, mais avant toute chose, pour se faire jusqu’à oublier l’insoutenable fournaise et faire oublier Ă  la majoritĂ© d’un public conquis les improbables caprices d’une mĂ©tĂ©o tropicale, Ă©chouĂ©e aux abords de The Ex, autres dinosaures toujours Ă©clatants de vitalitĂ©, le Magasin 4 nous offrait Ă  nouveau une bien belle nuit, placĂ©e sous l’égide d’une lune ronde et goguenarde. Dehors, le Sirocco soulĂšve les premiĂšres feuilles mortes se love autour de nos Ăąmes...Organisation Magasin 4. The Unspeakable Genius Il n’est pas idĂ©al d’assister Ă  deux concerts, en autant de soirĂ©es d’affilĂ©e ; car lorsque le spectacle parvient Ă  me transporter, il me faut plus de 24h pour le digĂ©rer
 Et ce sera le cas pour l’Unspeakable Chilly Gonzales programmĂ© Ă  la VolksbĂŒhne. Etait-ce de la musique contemporaine ? Un one-man show ? Une leçon d’éthique ? Ce que j’ai retenu, c’est que je ne me suis pas emmerdĂ©e une seconde. Le concert Ă©tait ultra sold-out ; mais on a rĂ©cupĂ©rĂ© des cartes de dĂ©sistement’ aprĂšs 3/4h d’attente Ă  la caisse. D’un seul coup, 10 places se sont libĂ©rĂ©es NDR oui, je sais, j’aurais dĂ» m’y prendre plus tĂŽt ; et pareil pour les Foo Fighters.L’homme est mĂ©galomane il se dĂ©clare lĂ©gĂšrement dictateur Ă  l’égard du Fuck Luck Orchestra sic qu’il paie pour qu’ils fassent ce qu’il dit’.L’homme est humble en pantoufles et peignoir, comme Ă  son habitude, il aspire avant tout Ă  se dĂ©carcasser ostensiblement pour le public. Dans son interview sur Motor FM le lendemain, il expliquait que seuls les vrais artistes sont ceux chez qui on sent les annĂ©es-misĂšres, le vrai job alimentaire’ de musicien de studio/d’ambiance/prof derriĂšre eux, qui ont acquis assez d’humilitĂ© pour ne pas jouer les invincibles mĂȘme pas mal quand je joue’ une fois sur la scĂšne du succĂšs. Chilly Gonzales transpire, postillonne, s’obstine et s’essouffle. Il a parfois le profil du pianiste dans Shine’.L’homme est gĂ©nial il dĂ©finit le musical genius comme la simple facultĂ© d’entendre des choses et de les rejouer. Cela ne signifie pas le talent. Mais avant tout, l’unspeakable genius de Gonzales procĂšde de l’invention d’un langage musical drĂŽle et comprĂ©hensible qui demeure dans la finesse. Un piano s’exprime. Des incises au semblant improvisĂ© donnent l’impression qu’il nous parle Ă  tous, et pas seulement dans un jargon destinĂ© aux musicos, mĂȘme dans son trip est un poĂšte il a peut-ĂȘtre pensĂ© que les gens l’écouteraient plus que ne le liraient et a intĂ©grĂ© ses poĂšmes, voire son pamphlet, dans sa musique. RĂ©sultat du rap blanc qui ne parle ni de misĂšre, ni de fric, ni de sexe et baston, mais rĂ©sonne tel un article de Slate. Pourquoi le rap ? Parce que si vous n’aimez pas le rap d’aujourd’hui, vous n’aimez pas aujourd’hui’.L’homme souhaite vivre dans son temps I want to be a man of my time with my old-fashioned skills. 
 Find a way in. Find your way in’. Le pianiste tambourine de la pĂ©dale et va dans les cordes, mais accuse les musiciens classiques contemporains d’avoir tuĂ© la musique classique et se met Ă  jouer n’importe quoi, What I’m playin’ is bullshit, you know, just make the face so as to make it credible’.L’homme est capitaliste Vous savez, ceux qui aiment ce que je fais achĂšteront mes disques et viendront Ă  mes concerts, c’est comme ça que ça marche, je suis capitaliste’. I’m a lot of things, but a left-wing singer songwriter I’m not.’L’homme est arrogant, atypique, lĂ©gĂšrement dĂ©moniaque, et complĂštement barge
Organisation VolksbĂŒhne Plus... Tindersticks playing Claire Denis Film score A marriage made in heaven’ A pas de velours, la musique des Tindersticks prend corps le temps de quelques soirĂ©es d’exception Ă  travers le monde, grĂące aux images de Claire Denis juste renvoi d’ascenseur, puisque l'inverse est vrai au cinĂ©ma depuis 1996. Si les compositions de Stuart Staples et des siens marient pour le meilleur et jamais le pire la filmographie de cette derniĂšre depuis quinze annĂ©es maintenant, ce n’est pas un hasard. Sorte de communion solennelle des sens et des sons, l’union sacrĂ©e entre ce groupe de classe et la rĂ©alisatrice française se fait charnelle et douloureuse, triste et passionnĂ©e, sensible et tumultueuse. L’interprĂ©tation live captivant les sens tandis que les images dĂ©clinĂ©es en patchwork illustrent les notes qui elles-mĂȘmes renvoient aux jeudi, Bruxelles jouissait Ă  son tour de cet immense privilĂšge, aprĂšs Istanbul, Paris, Londres ou encore San d’une soirĂ©e en seize neuviĂšme. S’invitant dans les plus belles salles pour ces reprĂ©sentations hors-cadre, les Tindersticks dĂ©couvrent ce soir le Palais des Beaux Arts, dans le cadre de la neuviĂšme Ă©dition du Brussel Film ce lieu Ă©lĂ©gant et quelque peu datĂ©, seyant parfaitement Ă  la musique des Anglais, les spectateurs, peu habituĂ©s Ă  ce type de cadre, savourent l’atmosphĂšre théùtrale. Elle emplit le microcosme avant que les lumiĂšres ne s’effacent. Sous les applaudissements se dĂ©coupent alors les huit silhouettes du groupe sur la toile blanche qui ce soir, leur servira de tremplin. AbsorbĂ©e par les images de NĂ©nette et Boni » et baignant dans les reflets aquatiques de cette scĂšne miroitante de la piscine, doucement, la bande son prend possession de l’espace. Pour ne plus s’en dĂ©faire, jusqu’à la derniĂšre note, suspendue quelque part dans l' sur la toile trains Ă  destination de l'abandon, chevaux lancĂ©s Ă  bride abattue, dans la virginitĂ© opaque de campagnes enneigĂ©es ou paysages d'Afrique Ă  la terre rouge sang. Se succĂšdent, scĂšnes chagrines ou sensuelles, tantĂŽt bercĂ©es, tantĂŽt malmenĂ©es ou encore transfigurĂ©es par la sublime musique de ces ombres se dessinant en contrebas de l'immense et tourments, personnages en perdition, amour, haine et sexe se cĂŽtoient ainsi dans une orgie fantasmagorique dont la bande son illustre avec brio chaque imperceptible mouvement. La flĂ»te traverse hier, le mĂ©lodica s’appuie sur deux mains, et le violon scelle son que les dialogues se dĂ©calquent sur les nuances tissĂ©es au fur et mesure, le temps s'arrĂȘte, happĂ© par cette ambiance plus de septante minutes plus tard, en guise de remerciements, le groupe offre deux titres en rappel, dont l'incontournable "Tiny Tears", le voile se lĂšve sur ce concert Ă©vĂ©nement qui situe un peu plus les Tindersticks dans la sphĂšre de ces groupes prĂ©cieux considĂ©rĂ©s comme indĂ©finissables et dont la trempe n'a d' ovation et saluts théùtraux clĂŽturent cette bien belle soirĂ©e contrastant drastiquement avec la derniĂšre fois que j'avais pu assister Ă  un de leurs sets. C'Ă©tait Ă  Eindhoven, l'an passĂ© et aprĂšs une trentaine de minutes, le concert s'Ă©tait achevĂ© prĂ©maturĂ©ment, Stuart Staples tournant les talons Ă  un public irrespectueux et Ă  la langue trop bien oui, les Tindersticks jouent une musique qui s’écoute, mais comme aujourd’hui, se regarde Bozar Simple Kind Of Man Le 8 fĂ©vrier dernier, le sympathique William Fitzsimmons bluffait un Witloof Bar plein Ă  craquer, en dĂ©livrant un concert acoustique de plus d’une heure, alors qu’il souffrait d’un mal de gorge. Un handicap qui n’avait en rien entachĂ© son excellente prestation. Le chauve barbu avait alors promis de revenir faire un tour sur nos terres, lorsqu’il serait rĂ©tabli, Ă  la sortie de son album, Gold In The Shadow ». Chose promise, chose due, Fitzsimmons prĂ©sentait pour la seconde fois, sa derniĂšre Ɠuvre, sur les planches du Botanique, ce 21 donc effectivement en pleine forme que le bonhomme nous est revenu. Upgrade’ oblige vu le succĂšs de son prĂ©cĂ©dent passage, William Fitzsimmons se produisait cette fois sur la scĂšne de l’Orangerie. Les Slow Runner, trio originaire de Caroline du Sud, assuraient deux fonctions celle de premiĂšre partie et celle de backing band’ de leur compatriote. La salle est loin d’ĂȘtre comble. La faute aux exams. Mais l’ambiance est Ă  la bonne humeur. Et, vu son sens de l’humour et de l’autodĂ©rision, le Pennsylvanien accroche un sourire sur le visage de son public, sans le moindre effort. CĂŽtĂ© setlist, Fitzsimmons peut se permettre un peu plus de fantaisie que lors de son prĂ©cĂ©dent passage, grĂące Ă  ses acolytes de Slow Runner. Wounded Head », If You Would Come Back Home », It’s Not True » et leurs nappes d’electronica passent haut la main le test du live’. L’Orangerie est littĂ©ralement envoĂ»tĂ©e par le Ricain, qui a tout du bon pote. Qu’il soit devant 150 ou 500 personnes, le grand Will est toujours tranquille et interprĂšte ses chansons de la mĂȘme maniĂšre qu’il le ferait autour du feu en compagnie de 2 ou 3 amis proches. Toute la discographie du bonhomme y passe, d’ Until When We Are Ghost » Ă  Gold In The Shadow ». Il effectue un vĂ©ritable tour d’équilibriste en restant constamment perchĂ© sur la ligne fine entre tristesse et allĂ©gresse. Ses prestations scĂ©niques lui permettent Ă©galement d’exorciser son passĂ© You Broke My Heart », Psychastenia » avec esprit et un humour imparable. AprĂšs 1h30 de concert, Fitzsimmons et son Ă©quipe se retrouvent face au public, au stand merchandising, dĂ©contractĂ©s, souriants, naturels, abordables. Que demander de plus ? Organisation Botanique Jeux de miroirs Le temps est au beau fixe et on entre en pĂ©riode de blocus. Il ne serait pas sĂ©rieux de se taper Gand, situĂ© Ă  plus de cent trente bornes de mon domicile. D’autant plus que le soleil aura disparu Ă  l'heure oĂč les Crystal Stilts envahiront la scĂšne du Charlatan ; d’ailleurs, je n'ai plus rien Ă  Ă©tudier depuis belle lurette. Alors au diable les kilomĂštres, Crystal Stilts, j’arrive...Les rues du centre ville sont animĂ©es et les terrasses sont peuplĂ©es de jeunes gens sympathiques. Chaque sourire traduit l’ambiance et l'atmosphĂšre au sein de laquelle baigne cette ville, un climat qui contraste singuliĂšrement avec d'autres mĂ©tropoles oĂč les individus hautains et dĂ©jĂ  halĂ©s s'exhibent fiĂšrement sur les devantures des cafĂ©s. Il est agrĂ©able de se retrouver ici. C'est la premiĂšre fois que je pĂ©nĂštre dans cette salle, sise Ă  l'arriĂšre du cafĂ© ; et je dois dire que le dĂ©cor est parfait. Manifestement, la culture flamande sait s'habiller. Sirotant ma biĂšre et contemplant la faune locale, je m'approche du podium et dĂ©couvre la premiĂšre duo sexy Too Tangled tire Ă©normĂ©ment parti de son image et abuse un peu des clichĂ©s du genre, pour au final dĂ©livrer un Rock & & Roll somme toute bien ficelĂ©, mais au demeurant guĂšre original. Le jeu de scĂšne du mĂ©nage, s'il a le mĂ©rite d'ĂȘtre rĂŽdĂ© et divertissant, distrait nĂ©anmoins du principal. Les compositions du groupe, aussi bien interprĂ©tĂ©es soient-elles, restent tout de mĂȘme assez passe-partout ; et s'il se dĂ©gage de ce concert une Ă©nergie positive, il n'en demeure pas moins que Too Tangled ne rĂ©inventera pas un concept qui des Kills aux Kills, a dĂ©jĂ  fait le tour de la question. Sympathique, sans est passĂ© vingt-deux heures quand les quatre silhouettes dĂ©glinguĂ©es de nos New-yorkais montent sur l'Ă©troite estrade en escalier. A contrario du premier groupe, Crystal Stils se fout royalement de son image. Pantalons trop courts et coupes de cheveux improbables, leur look se profile entre nihilisme vestimentaire et nouvelle Mode, Ă  mi-chemin entre Johnny Marr et Jean Peuplu. Car c'est dans la musique que le groupe fait la diffĂ©rence. Non seulement il est hors norme, mais il est surtout excellent. Entamant son set par le titre qui ouvre le dernier opus le hautement recommandable In Love With Oblivion », chroniquĂ© ailleurs en ces pages, une intrigante ballade posĂ©e au pied d'un Sycamore Tree », le combo embraie par le dĂ©bonnaire Through the floor ».Crystal Stilts revisite sa pop en la saupoudrant de psychĂ©dĂ©lisme spĂ©cifique. Et en l’espace d’une heure, le band va se fendre d’un concert gĂ©nĂ©reux mais pourtant assez Ă©conome, dans son rĂ©pertoire, brillamment exĂ©cutĂ©. Un vieux synthĂ© analogique qui ne paie plus de mine, peu de pĂ©dales d'effets et une batterie rĂ©duite Ă  sa plus simple expression alimentent la solution sonore. Et pourtant le rĂ©sultat est hautement plus probant que celui rĂ©servĂ© par nombre de groupes noyant leurs faibles compos sous de multiples effets lourdingues, pour mal cacher leur manque d'inspiration ; car le gĂ©nie de CS procĂšde de leur capacitĂ© Ă  composer des chansons Ă©videntes et fichtrement bien balancĂ©es. De petites perles dĂ©posĂ©es dans un Ă©crin sonore qui porte dĂ©finitivement leur griffe. Crystal Stilts » l'Ă©ponyme, Silver Sun » ou l'imparable Shake the Shackles », sont interprĂ©tĂ©s avec ce dĂ©tachement improbable, Ă  mi-chemin entre attitude Baggy et Cool, portĂ©e Ă  son premier rappel, Ă  la demande du public, The SinKing » surprend une set list Ă©crite Ă  la hĂąte sur un carton de tarte NDR parfaite illustration d’une non-attitude dĂ©sarmante. Et cerise sur le gĂąteau, le final est rĂ©servĂ© Ă  Half a Moon », une plage dont l'aura va scintiller au cƓur des derniĂšres rĂ©verbĂ©rations propagĂ©es par des amplis surchauffĂ©s. Pour une premiĂšre apparition de Crystal Stilts sur le sol belge, le combo de Brooklyn a fait trĂšs fort. Pas de The Dazzled », cependant ; dommage, mais qu'importe!La salle se transforme alors en dance-floor et le DJ prend les commandes. Les jolies filles affluent de partout ; et votre serviteur s'esquive dans la nuit, un sourire bĂ©at suspendu Ă  ses lĂšvres Democrazy Three Times A Lady PlutĂŽt trois fois qu’une, Isabelle Marie Anne de Truchis de Varennes oui, rien que ça
 alias Zazie effectuait en cette fin de mois de mai une inspection gĂ©nĂ©rale des salles bruxelloises de taille moyenne. Il faut dire que la demoiselle comptait pas moins de 49 titres Ă  promouvoir, tous issus de son petit’ dernier, intitulĂ© 7 », et dĂ©coupĂ© en autant d’Eps thĂ©matiques. AprĂšs un premier passage opĂ©rĂ© au sein d’une AB bondĂ©e, ce sont les planches des Halles de Schaerbeek qui accueillaient la brune et ses musiciens pour un show, Ă  l’image de la personnalitĂ© de la chanteuse, simple, amusant et chaleureux. Humain, tout de pitiĂ© pour les retardataires, Zazie dĂ©marre quasi pile Ă  l’heure indiquĂ©e sur le ticket. La salle est encore occupĂ©e de se peupler, qu’elle achĂšve dĂ©jĂ  Des Rails », le deuxiĂšme morceau de la soirĂ©e. L’ambiance, entretenue par la bonne humeur de la chanteuse, est Ă©lectrique. Entre deux morceaux, cette derniĂšre adresse systĂ©matiquement la parole Ă  ses fans, toujours avec humour. Pratiquant l’autodĂ©rision comme un art, la Française nous offre un One-Woman Show partagĂ© entre morceaux de son dernier ouvrage, 7 », ainsi que certains de ses classiques comme RodĂ©o », Rue de la Paix », Sur toi » et Aux armes citoyennes ».Avant d’entamer un duo avec son guitariste, Philippe Paradis, Zazie dĂ©clenche l’hystĂ©rie auprĂšs de ses fans les plus fervents en interprĂ©tant une version acoustique de Zen », repris Ă©videmment en chƓur par l’assemblĂ©e. Assis sur l’estrade, cette derniĂšre et ses musiciens tournent le dos Ă  un dĂ©cor sans artifices. Une seule fantaisie un Ă©cran dĂ©coupĂ© en 4 bandelettes surplombant la scĂšne. Le moment-phare du spectacle est atteint lors de l’interprĂ©tation du tube Je suis un homme », repris Ă  gorge dĂ©ployĂ©e par quelques surexcitĂ©s dans l’assistance. AprĂšs un petit rappel accordĂ© en bonne et due forme, la plus captivante des chanteuses de variĂ©tĂ© française exĂ©cute 3 petits tours » et puis s’en va, aprĂšs s’ĂȘtre livrĂ©e Ă  100% durant prĂšs de deux heures. Lors d'un second et dernier rappel, elle s’attaque Ă  son hymne anti-fachos, Tout le monde » durant lequel elle laissera le soin au public de fredonner le refrain. AprĂšs que la chanteuse et son Ă©quipe ait tirĂ© leur rĂ©vĂ©rence, le spectacle se clĂŽture de maniĂšre originale. Sur les Ă©crans dĂ©file une sorte de gĂ©nĂ©rique de fin prĂ©sentant toute l’équipe, technique et autre. Cette mĂȘme Ă©quipe que la brunette aura respectueusement remerciĂ© plus d’une fois au long du show. Le lendemain, c’est au Cirque Royal que Zazie bouclait sa tournĂ©e bruxelloise, avant d’écumer les festivals d’étĂ©. Et vu l’énergie dispensĂ©e, nul doute que la tournĂ©e ne s’arrĂȘtera certainement pas en si bon revoir aux Francofolies de Spa le 23 juillet et au Tempo Festival de Tournai le 30 Live Nation

LaLune dans le caniveau, un film de Jean-Jacques Beineix de 1983. Apres avoir été violée dans une impasse, Catherine se suicide. Gérard, son frÚre, jure de la venger. C'est le début d'une grande dérive qui va l'amener à rencontrer divers personnages dans les bouges

Pour fĂȘter ses 35 ans, le film- culte de Jean- Jacques Beineix est Ă  l’honneur ce soir de Place au cinĂ©ma » sur France 5, prĂ©sentĂ© par Dominique Besnehard Le premier Philippe Djian portĂ© sur grand Ă©cran 37°2 le matin met en scĂšne l’histoire d’amour passionnelle et tragique entre Zorg, aspirant Ă  un peu de rĂ©pit dans une vie un peu trop agitĂ©e Ă  son goĂ»t et Betty, grenade dĂ©goupillĂ©e qui va venir faire voler en Ă©clat – pour le meilleur comme pour le pire – cet Ă©quilibre auquel il aspirait. Mais avant d’ĂȘtre un film, 37°2 le matin fut un livre, publiĂ© l’annĂ©e prĂ©cĂ©dente en 1985. Le troisiĂšme roman de Philippe Djian mais son tout premier Ă  ĂȘtre portĂ© sur grand Ă©cran, avant Bleu comme l’enfer par Yves Boisset dans la foulĂ©e puis Impardonnables par AndrĂ© TĂ©chinĂ© en 2011, Incidences par Arnaud et Jean- Marie Larrieu avec L’Amour est un crime parfait en 2013 et Oh... que Paul Verhoeven adapte avec Elle en 2016. Grand admirateur du cinĂ©ma de Beineix qui avait auparavant signĂ© Diva et La Lune dans le caniveau, Djian fut un temps inquiet de sa volontĂ© de trahir » son roman avant de s’en fĂ©liciter au vu des rĂ©sultats. Et ce mĂȘme si le film eut Ă  subir du retard au dĂ©marrage. Six mois prĂ©cisĂ©ment, le temps d’un procĂšs pour rĂ©cupĂ©rer les droits du livre bloquĂ©s. Un casting signĂ© Dominique Besnehard Quand Jean- Jacques Beineix Ă©crit l’adaptation de 37°2 le matin, il a deux noms d’interprĂštes en tĂȘte GĂ©rard Lanvin qui sort du double carton de Marche Ă  l’ombre et des SpĂ©cialistes et ValĂ©rie Kaprisky, tout juste rĂ©vĂ©lĂ©e par La Femme publique et L’AnnĂ©e des mĂ©duses. Mais une fois le scĂ©nario achevĂ©, il change son fusil d’épaule. Il veut une inconnue pour jouer Betty et balaie la volontĂ© de son producteur qui souhaite Isabelle Adjani. Et cette inconnue, c’est son directeur de casting Dominique Besnehard qui va la lui apporter sur un plateau. Une brune incendiaire de 21 ans qu’il a repĂ©rĂ© sur la couverture du magazine Photo dans le cadre d’une sĂ©rie sur les lolitas. Mais Besnehard n’en reste pas lĂ . Il convainc aussi le cinĂ©aste, un temps rĂ©ticent - car il le trouve trop jeune et trop fragile pour le rĂŽle - de prendre Jean- Hugues Anglade pour Zorg. La vision de sa prestation dans L’Homme blessĂ© de Patrice ChĂ©reau changera dĂ©finitivement la donne Ă  son avantage. Beineix- Yared, deuxiĂšme 37°2 le matin marque la deuxiĂšme des trois collaborations entre Jean- Jacques Beineix et Gabriel Yared la derniĂšre sera IP5 en 1992. C’est aprĂšs l’avoir vu diriger ses musiques composĂ©es pour Sauve qui peut la vie de Jean- Luc Godard et Malevil de Christian de Chalonge Ă  la tĂ©lĂ©vision dans Le Grand Ă©chiquier de Jacques Chancel que le cinĂ©aste l’avait contactĂ© pour imaginer la bande originale de La Lune dans le caniveau. Et dans la foulĂ©e, il lui propose de travailler sur la musique de 37°2 le matin. Un changement d’échelle on passe de 90 Ă  5 musiciens. Mais aussi de style musical Ă  une ambiance d’opĂ©ra succĂšde un mĂ©lange assumĂ© des genres, nourri de leurs passions communes pour Marvin Gaye, les Beatles ou la musique brĂ©silienne. Et pour le thĂšme principal, C’est le vent Betty, il a imaginĂ© au piano une gamme que BĂ©atrice Dalle – qui, contrairement Ă  Jean- Hugues Anglade, ne pratique pas cet instrument - pourra jouer en autodidacte. Ce morceau participera Ă  l’immense succĂšs de cette Le tout premier de la carriĂšre de Yared qui, nommĂ© aux CĂ©sar, s’inclinera cependant face au gĂ©nie Herbie Hancock pour le Autour de minuit de Bertrand Tavernier.

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SynopsisBande-annonceCastingAnnée de production 1983Pays France , Italie Genre Film - Drame Durée 135 min. Synopsis Dans les quartiers mal famés d'une ville portuaire. Gérard, docker, erre chaque nuit à la recherche de l'homme qui a violé sa soeur bien-aimée et l'a poussée au suicide. Un soir, il fait la connaissance dans un bar du riche Newton Channing et de la belle Loretta, qui présente une troublante ressemblance avec sa défunte soeur Bande-annonce Vous regardez La lune dans le caniveau. Votre bande-annonce démarrera dans quelques secondes. Casting de La lune dans le caniveau Acteurs et actricesVittorio MezzogiomoNewton ChanningRéalisateurScénario
LaLune dans le caniveau, film français italien de 1983 rĂ©alisĂ© par Jean-Jacques Beineix, de genre Drame, avec GĂ©rard Depardieu, Nastassja Kinski, Victoria Abril, Ronde151Rectangle108Octogonale38Ovale34Hexagonale7CarrĂ©e5EtĂ©184Hiver1154 saisons14Hors sol autoportante62EnterrĂ©e21Hors sol tubulaire11Universelle9Semi-enterrĂ©e7Hors sol bois5BĂąche Ă  bulles127BĂąche isolante anti-algues39Filet36BĂąche Ă  barres4Anti UV65Avec oeillets26CĂŽtĂ©s renforcĂ©s15Anti fongique5Livraison gratuite17178Livraison en 1 jour2476Livraison Ă  un point de relais5476Livraison par ManoMano 2253Summer Fun Couverture de piscine d'hiver Ovale 625 cm PVC Vert - Vert95€100€Livraison gratuitePiscine Summerwaves rectangulaire 260 x 160 cm88€25Livraison gratuiteBĂąche couvrante de piscine EXIT Premium 540x250cm113€25Livraison gratuiteINLIFE DĂŽme de piscine 550x275 cm - Multicolore1 262€551 456€86Livraison gratuiteCartouche de filtration Ă  Aqualoon17€90DĂŽme de piscine 440 x 220 cm564€68Livraison gratuitePiscine bois " Rio " - 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Jean-Jacques Beineix France-Italie / 1982 / 137 min d'aprĂšs le roman "The Moon in the Gutter" de David Goodis Avec GĂ©rard Depardieu, Nastassja Kinski, Victoria Abril. GĂ©rard est obsĂ©dĂ© par sa recherche de l'homme qui viola sa soeur, poussant cette derniĂšre au suicide. Sa quĂȘte lui fait rencontrer la riche Loretta, dont il tombe amoureux au point d'oublier sa maĂźtresse Bella qui, jalouse, tente de le faire tuer. GĂ©nĂ©rique RĂ©alisateur Jean-Jacques Beineix Assistants rĂ©alisateurs Inigo Lezzi, GĂ©rard Pujolar ScĂ©naristes Jean-Jacques Beineix, Olivier Mergault Auteur de l'oeuvre originale David Goodis d'aprĂšs le roman "The Moon in the Gutter" SociĂ©tĂ©s de production TF1 Films Production, SFP CinĂ©ma, Opera Film Produzione Roma, Gaumont Producteur Daniel Toscan du Plantier Producteurs dĂ©lĂ©guĂ©s Lise Fayolle, Emmanuel Schlumberger Directeur de production Luciano Balducci Distributeur d'origine Gaumont Distribution Directeur de la photographie Philippe Rousselot IngĂ©nieur du son Pierre Gamet Compositeur de la musique originale Gabriel Yared DĂ©corateur Hilton McConnico Monteurs Monique Prim, Yves Deschamps Coordinateurs des effets spĂ©ciaux Cataldo Galiano, Jean-Marc MoulignĂ©, Olivier Gillon, Yves Tulli InterprĂštes GĂ©rard Depardieu GĂ©rard Delmas, Nastassja Kinski Loretta, Victoria Abril Bella, Vittorio Mezzogiorno Newton Channing, Dominique Pinon Frank, Bertice Reading Lola, Gabriel Monnet Tom, Milena Vukotic Frieda, Bernard Farcy JĂ©sus, Anne-Marie Coffinet Dora, Katia Berger Catherine, Rosa Fumetto jeune catcheuse, Rudo Alberti gardien du monastĂšre, Jacques Herlin le peintre, Jean-Roger Milo 2Ăšme tueur, Fred Ulysse contre-maĂźtre, Yves-Marie Maurin voix de, Victor Cavallo 1er tueur
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