Lebonheur est dans le pré, film de Etienne Chatiliez, commentaire, Site Images et Mots. Accueil . Actualités . Contact . Sites amis images et mots. fr . Littérature. Cinéma. Divers. Peinture. Musique. Santé. Covid. Randos. Animaux. Bienvenue sur le site d'un manipulateur de mots, passionné d'écriture, de cinéma, de musique, d'ésotérisme A - Z 1 à 7* Allez, dépêche-toi ! Il est plus que temps ! » Il grommèle dans sa barbe, elle ne l’entendra pas, elle qui court toujours, même maintenant qu’elle a plus de mal à le faire… Il en a davantage et il n’arrive pas à la rattraper. Allez ! Regarde ! Nous n’en sommes pas loin ! » Pas loin de quoi ? Il le pense mais n’ose pas lui dire, comme souvent. Elle prendra mal la chose s’il pose une question, de celles qui mettent dans ses yeux ce regard indéfinissable où il lirait des mots qu’il ne veut pas entendre Voyons ? Mais tu n’as pas compris ? Depuis le temps que nous vivons ensemble, nous n’avons plus vraiment besoin de ces mots qui expliquent l’inexplicable ! » En ont-ils échangés de ces regards qui disaient leur amour, leur confiance mutuelle, leurs espoirs, mais aussi – parfois – leur déception ! Le ciel n’était pas toujours bleu, le soleil pas toujours présent. Mais elle… elle agit comme si tout était évident. Il lui suffit d’un sourire, et il continue de la suivre sans savoir où elle va, où elle court, où elle sera demain. Lui, il a décidé un jour qu’il l’aimait, et il n’a jamais failli. Aimer, c’était cela. Accepter qu’elle l’entraîne dans ce tourbillon où il ne savait jamais s’il devait la suivre où seulement la regarder, comme si elle était l’unique protagoniste d’un spectacle chaque jour différent. Elle allait, pensant le suivre où il voulait. Elle l’a toujours cru. Mais… en réfléchissant, en y pensant davantage, en l’écoutant mieux… elle saurait… Il l’a accompagnée dans sa quête vers ce je ne sais quoi qui la faisait courir, qui la faisait s’arrêter parfois aussi, des larmes dans les yeux, comme si elle savait qu’elle n’y arriverait jamais. Il la prenait alors dans ses bras, sans questions, sans autres mots que ce Je t’aime » murmuré, tout bas, parfois trop bas. L’entendait-elle alors, ailleurs que dans la tendresse d’un geste cent fois renouvelé ? Il était si présent lorsqu’elle s’enfonçait dans une détresse qu’elle ne racontait qu’aux pages d’un cahier qu’il n’avait jamais lu ! Allez ! Encore quelques mètres ! » Il la suit… et du fond de sa mémoire remonte un poème appris sur les bancs de l’école. Comme il trouvait tout cela dérisoire ! Il n’aimait pas… et aujourd’hui les mots le harcèlent Cours-y vite ! Cours-y vite ! » Est-ce vraiment le bonheur qu’elle a vu, là-bas, plus loin… dans le pré ? Le bonheur… Il en aurait tant à dire sur celui dont elle a tapissé leurs souvenirs ! Il lui dirait que… Allez ! Viens vite ! Il faut que tu le voies ! » Ses mots le renvoient au silence. Il ne lui a pas dit. Il ne lui dira pas. Le bonheur est dans le pré, là-bas… mais sa jambe n’est plus si légère, ses pas se font plus lourds. Tant de marches à monter !… Regarde ! Tu l’as vu ? » S’il avait su au moins quoi regarder ! Devant lui s’ouvrent tous les chemins des possibles. Et comme il ne sait pas quoi dire pour ne pas la décevoir, il se serre contre elle un instant, il sait qu’elle lui dira, un jour peut-être, et peut-être pas, ce qu’il fallait regarder. © Quichottine, 25 mai 2013. Photo de Gérard. [ … Merci à Gérard pour cette très belle image. … Article publié pour la première fois sur Blogspot à l’adresse suivante == Le Bonheur Le bonheur est dans le pré. Cours-y vite, cours-y vite. Le bonheur est dans le pré. Cours-y vite. Il va filer. Si tu veux le rattraper, cours-y vite, cours-y vite. Si tu veux le rattraper, Ce recueil de poésies vous propose une sélection de 9 poèmes de la catégorie Bonheur. Le bonheur que l'on diffère est toujours du bonheur perdu Poèmes et poésie sur le bonheur Poème N°01 Le bonheur. Recueil Poésie d'amour 1833 Amour qui n'obtient point amour, Froisse l'âme désespérée ; Sentiment payé de retour N'est guère de longue durée ; Ne rien sentir, n'inspirer rien, Est comparable au néant même Enfin, lorsque j'y pense bien, Le bonheur me semble un problème. C'est à vouloir ce qu'on n'a pas, Que l'on passe son existence ; Le bien présent n'a plus d'appas, Le bien perdu devient souffrance Ce qu'on obtient facilement N'est jamais l'objet qui nous tente ; C'est au bonheur que l'on prétend Et l'on poursuit ce qui tourmente. Ah ! s'il existe ce bonheur, Que j'ai cent fois nommé chimère, C'est dans cet avenir flatteur, Que chacun crée à sa manière Pour moi, devant le définir, D'après ma propre expérience, Je dirais que c'est le désir, Vivifié par l'espérance. © Hélène van den EN RELATION Poèmes et poésie sur le temps qui passe Poème N°02 Le bonheur idéal. Recueil Poésie d'amour 1833 L'espérance, le souvenir, Ne charmeront point ma jeunesse ; Mais il me reste le plaisir De m'abuser sur sa tendresse. Puissance de l'illusion, Toi qui m'entraînes, me diriges, À mon imagination, Prêtes enfin tes heureux prestiges ! Je saurai donc, dès ce moment, Me le figurer plein de flamme, Ce doux regard de mon amant, Qui peint le calme de son âme ! Prêter sans cesse à ses discours Tout l'abandon, tout le délire, Tout l'enchantement des amours, Dont il connaît si peu l'empire. Loin de lui, je vais croire encor Que, de moi, son âme remplie, Avec ivresse, avec transport, Projette d'aimer pour la vie. Et lorsqu'au sein de mon erreur, Je croirai le revoir, de même, Son abord sera le bonheur ! Son sourire le bonheur suprême ! © Hélène van den Bergh. Poème N°03 C'était un sourire ! C'était un sourire. Un sourire plein de promesse. Je ne l'ai pas vu, je devais être pressé. Ni par le temps, ni par le bonheur pourtant... Alors quel visage m'a t-on donné? Un sourire. Certainement celui d'un instant, comme un baiser que l'on donne. Je ne cherchais rien alors, si ce n'est l'aube et le printemps. Il me semblai qu'un sourire d'enfant émanait de ces lèvres rosés mais pour des yeux discrets il s'agissait d'un ange aux ailes élancés... Une jolie courbe sur une face qui pétille d'innocence et qui pourtant semble déjà fatigué Voilà la véritable raison des sommets engagés dans une lutte singulière; Un sourire contre la guerre, Un sourire pour tout les souvenirs, Un sourire parce qu'il y en a si peu, [enfin] Un sourire car un échange se fait à deux... © Wilaura Poème N°04 Un rêve de bonheur. Recueil Promenades et Intérieurs 1872 Un rêve de bonheur qui souvent m'accompagne, C'est d'avoir un logis donnant sur la campagne, Près des toits, tout au bout du faubourg prolongé, Où je vivrais ainsi qu'un ouvrier rangé. C'est là, me semble-t-il, qu'on ferait un bon livre. En hiver, l'horizon des coteaux blancs de givre ; En été, le grand ciel et l'air qui sent les bois ; Et les rares amis, qui viendraient quelquefois Pour me voir, de très loin, pourraient me reconnaître, Jouant du flageolet, assis à ma fenêtre. © François Coppée. Poème N°05 L'inspiration L'inspiration vole Comme un ballon Dans la nuit, elle s'affole Dans le jour, elle est sucrée comme un bonbon. On la tient dans le creux de notre main Pour pas qu'elle s'envole trop loin On l'oublie parfois Elle nous revient grandi et avec plus de voix. Les jours de bonheur, elle nous sourit Et les jours de pluie, elle nous sauve de l'ennui Elle saute dans nos mains ou sur le papier Tenez-la bien ou elle va encore s'échapper. Elle est coquine et nous joue des tours Elle fait le contraire de ce qu'on lui dit Elle joue trop souvent avec l'amour Malgré nos efforts, elle est faite ainsi. L'inspiration comme un ballon Est joyeuse et rose bonbon Elle nous en fait voir de toutes les couleurs Mais fait tout pour éloigner le malheur. On la met sur papier Et elle s'empresse de créer un monde enchanté Dans lequel il nous est permis de nous laisser aller Elle nous emmène parfois très loin Et décide souvent de nos actions de demain. © Poème de Melody Poème N°06 Le bonheur. Recueil Épître à Eugénie 1810 C'est au sein du devoir qu'on trouve le bonheur Le bonheur est partout lorsqu'on règle son cœur ; Il se montre aux cités, il habite au village, Quelquefois chez les grands, toujours avec le sage. Si par de faux sentiers l'homme en vain le poursuit, C'est à tort qu'il se plaint que le bonheur le fuit Quand à courir après notre ardeur nous emporte, Nous le cherchons bien loin, il est à notre porte. © Jean-César-Marie-Alexandre Chaudruc de Crazannes. Poème N°07 Le bonheur est mélancolique. Recueil Mélancolie 1913 Le bonheur est mélancolique. Le cri des plus joyeux oiseaux Paraît lointain comme de l'eau Où se noierait une musique. À l'œil qui s'en repaît longtemps La couleur des fleurs est moins fraîche ; L'herbe a parfois l'air d'être sèche Sur le sein même du printemps. L'allégresse comme un mensonge Hausse sa note d'un degré Et l'angoisse au cœur se prolonge Sous un jour trop longtemps doré. © Cécile Sauvage. Poème N°08 Au cœur solitaire du bonheur. Recueil La chanson d’Ève 1904 Au cœur solitaire du bonheur, Devenu mon cœur même, Quelle paix divine en ce jour, Et quelle plénitude suprême ! Ô le rire adorable d'amour De tout ce qui m'environne ! Autour de mon bonheur en fleur Une abeille éternelle bourdonne... Elle se clôt doucement et s'apaise, Mon âme heureuse ; Elle se tait, La rose qui chantait. © Charles Van Lerberghe. Poème N°09 Se moquer un peu du bonheur ! Où étais-tu passé Je te cherche depuis si longtemps Mon bonheur si souvent effacé Qui joue le timide trop souvent. Tu sais tant te faire attendre Et tu abandonne parfois trop facilement Tu racontes à qui veut bien l'entendre Que tu aimes être discret et que parfois tu mens! Tu joue le farouche Quand on ne te mérites pas Faut surtout pas qu'on te touches Si on en a pas acquis le droit. Tu aimes te faire passer pour un autre Mais pourtant tu dis qu'on ne t'apprécie pas à ta valeur Tu nous relève de nos malheurs Et ensuite tu t'en vas flirter avec d'autres. On ne saisie pas toujours la chance de se faire aimer et de te mériter Et quoi que l'on en pense On peut toujours te trouver. Bonheur, je te promet Que si tu me laisses te vivre Plus tard, je te conterai À ceux qui qui n'ont pas eu de chance de te suivre! © Melody A découvrir également Poèmes d'espoir et de bonheur. Proverbes sur le bonheur. Citations sur le Bonheur. Les poèmes classés par thèmes.
dansun champ de marguerites je veux y dormir je veux y dormir car tout passe si vite. je veux y aimer encore plus que tout autre chose je veux aimer encore dans un champ de boutons d'or. un jour de bleu un jour de rose je cours je veux y aller plus que tout autre chose le bonheur est dans le pré. j'y cours je veux y aller bleuets sur ma robe défaite sur ma robe ôtée dans un champ de blé
Elodie, viens avec Moi, depuis que je te l’ai promis,Qu’on irait se balader, durant toute une journée,Le long des haies fleuries, et que l’on regarderait dans les nids,Je te ferais découvrir, dans les bois et les prés, ce que tu ne connais,Un monde parfait, diversifié, en mélange, dont tous les habitants, s’en arrangent,Je t’apprendrais le chant des oiseaux, leur mélodie, leur nom, si beaux !Prés d’un ruisseau, je te montrerais, la demoiselle aux ailes bleues,Différente, de la libellule, beaucoup plus grosse, si tu veux ?Les plantes et les herbes médicinales, pour quand tu auras mal,Et puis dans le sous-bois, la délicieuse petite fraise des bois, tu savoureras,Connais-tu, le pissenlit dent de lion », bien croquant et en salade si bon ?Allez viens, le bonheur est dans le pré », de l’air pur, je vais te faire respirer ! !Iris, oui j’arrive, montre moi, tout ça,Quelle est cette fleur ? Regarde avec ces 2 papillons, tu ne la trouves pas magnifique toi ?Et tous ces oiseaux, dans les arbres, qui chantent, ce n’est pas merveilleux !Oh ici, tout est de couleur, de joie, de bonheur, je passerais des heures à tout contempler,Tu aimerais toi, je suis sûre, montre moi tout, je veux poser mes yeux,Sur les plus belles choses, apprends moi, je veux être émerveillée par toute cette beauté,Montre moi tout ce qui vit, il y a même des grenouilles vertes comme la prairie,Tout parait tranquille et calme, on entend juste le bruit du ruisseau, des oiseaux et puis aussiTous ces petits êtres, on se croirait au paradis !Quand je regarde tout ça, elle vaut vraiment d’être vécu, la vie, je la trouve belle !Et dis-moi toutes ces plantes à quoi servent-elle ?Je ne connais pas tout ça explique moi !Oh, Elodie, que tu es émouvante, je savais bien qu’une échappée, te plairait !Regarde le soleil brille de mille étincelles, ici, c’est sûr, la vie est trés belle !Regarde un papillon citron », sais-tu qu’il est protégé, en voie de disparition ?Tu vois là-bas, cet arbre, il est centenaire, c’est un magnifique et grand chêne rouvre,Oh, viens voir, un nid de perdrix, là, caché, au milieu des blés dorés,Les petits sont nés, il ne reste que des coquilles écrasées, et puis, juste à côté,Ces fleurs si bleues et jolies, sont des centaurées, si tu préfères des bleuets,Chantés par les poétes, c’est chouette, non ?Tu vois j’avais raison, de vouloir te sortir de la maison !Lève la tête et le ciel inspecte, les nuages à la traîne sont des strato-nimbus, et plus loin des cumulus !Regarde de la mauve, au moyen-âge, elle faisait partie de la tisane des quatre fleurs », composée en fait de sept espèces, coquelicot, tussilage, pied de chat, molène bouillon-blanc, guimauve et violette, mais là maintenant, je te saoûle, il vaut mieux que je m’arrête !Tu sais, Kyra, il faudra revenir une autre fois, ce n’est pas suffisant, la nature c’est si grand, mais comme tu as pu le constater le bonheur est dans le pré » ! !Oh mais tu m’en apprends bien des choses là,Quelle ignorante que voila, je ne connaissais pas tout ça !Le nom des nuages, je le connais, mais, lequel c’était, je ne le savais, maintenant je les reconnaitrais !Et puis ce papillon citron », il est tellement beau, je ne l’avais jamais vu, maintenant je saisQu’il est préservé,Et puis tout ça, je n’avais jamais rien vu de semblable, je t’assure !Ici, tout, on voit la vie en rose, le monde est vraiment pur,Si je pouvais y vivre, cela serait magnifique, et puis toi tu ne serais pas loin, je pense,Mais non tu ne me saoûles pas, tu m’as tant appris en quelques heures que je ne peux que te dire tout cela je ne l’aurais vu toute seule, et puis c’est un des plus grands éléments de la vie !La nature, fraîche et douce, renferment des secrets, et dis-moi ?Es-ce que tu me montreras encore ? Un autre jour, tout le reste à découvrir et explorer avec toi ?Oui c’est bien vrai le bonheur est dans le pré » tout ce dont je pouvais rêver !Le 24/03/06Hola, petit Chat, bien sûr qu’avec moi, tu viendras et ensemble, toutes les deux, on découvrira les merveilles cachées, de la nature en émoi… bisousssssssss. . Toi… Irisoui ça sera merveilleux vive le printemps avec Iris tout devient beaux et de couleur ! je t’adore, gros bisoux k
Lebonheur n’est pas dans le pré. par Yaël Pachet. Jean-Marie Chevrier, auteur du Dernier des Baptiste publié en mars 2016 chez Albin Michel, a travaillé toute sa vie comme dentiste dans la ville de Guéret, préfecture de la Creuse. Tout en ayant consacré sa vie professionnelle à réparer, à soigner ou à remplacer cet organe minéralisé aux étranges origines

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Poèmed'amour et Bonheur. C'est toi qui m'apprends. De l'amour ses émotions, Ses secrets les plus profonds, Avec l'ardeur de tes passions, Dont ce fleuve ruisselant, Dans ton joli cœur d'amant, Est aussi exubérant en aval qu'en amont.
7 juin 2012 4 07 /06 /juin /2012 1215 Pour conclure la lecture de l'histoire sur un poème, j'ai proposé aux élèves de petite section de leur lire un poème... Bien sûr, ils ont tous dit oui ! Un livre, quel qu'il soit, ça ne se refuse jamais. De mon côté, j'avais un peu farfouillé dans les albums pour dénicher celui-ci. Je voulais un poème, qui soit court, accessible, accompagné par plusieurs illustrations - un poème un peu long sur une seule page, avec une illustration en face, comme la plupart des albums du rayon poésie me paraissait bien compliqué à lire à un groupe, surtout aussi jeune. Celui-ci était parfait. "Le bonheur est dans le pré, cours-y vite, cours-y vite..." Vous aussi, vous connaissez, n'est-ce pas ? Au fil des pages, le bonheur qui ressemble beaucoup à un ballon s'enfuit, devant l'enfant qu'il poursuit sans jamais l'attraper...Chaque strophe ou phrase étant illustrée sur une double page, avec un dessin très vivant aux vibrants coups de pinceaux. Cet album est une réussite. Un petit format, que les enfants adorent les très petits livres de la bibliothèque ont toujours un succès fou auprès des élèves de maternelle, le record revenant sans doute à un livre de Ponti dont il faudra que je parle d'ailleurs, le texte de Paul Fort sonne merveilleusement bien à lire... Par curiosité, je l'ai testé sur mon petit bouchon de bientôt 23 mois. Bien sûr, à la première lecture, il était tout heureux de trouver des vaches et des moutons dans les illustrations c'est un bélier, en fait, mais c'est pas grave. Et arrivé à la dernière page, il m'a tout de suite réclamé "encore !" Ce que j'ai fait bien volontiers... Il a écouté avec tout autant d'enthousiasme la deuxième lecture, puis la troisième, puis... "Cours-y vite" semble le mettre en joie il saute sur place en répétant "vite, vite". Et quand, après une quinzaine de fois tout de même, j'ai voulu passer à autre chose, il s'est mis à réclamer "encore bonheur !" - une demande pleine de poésie, vous ne trouvez pas ? Verdict ça marche aussi bien à 23 mois qu'à 3 ans ! "Le bonheur" de Paul Fort, avec des images de Katy Couprie, chez "Rue du monde" j'avais dit que cet éditeur aimait la poésie !. Encore une lecture pour le "Challenge je lis aussi des albums" de 2012 ! Published by annette - dans Albums jeunesse poésie
Unentretien lors duquel le Corse avait confié avoir été marqué par une relation "toxique". Ce lundi 22 août, M6 a donné le coup d'envoi de la saison 17 de L'amour est dans le Le Bec de l’Ornithorynque lance un cycle poétique, présentant la vie de poètes* féminins ou masculins ainsi que quelques uns de leurs textes. Aujourd’hui, je vous invite à découvrir Paul Fort dont certaines poésies sont inscrites dans ma mémoire. Le bonheur Les ballades françaisesLe bonheur est dans le pré. Cours-y vite, cours-y vite. Le bonheur est dans le pré. Cours-y vite. Il va tu veux le rattraper, cours-y vite, cours-y vite. Si tu veux le rattraper, cours-y vite. Il va filer. Dans l’ache et le serpolet, cours-y vite, cours-y vite, dans l’ache et le serpolet, cours-y vite. Il va filer. Sur les cornes du bélier, cours-y vite, cours-y vite, sur les cornes du bélier, cours-y vite. Il va filer. Sur le flot du sourcelet, cours-y vite, cours-y vite, sur le flot du sourcelet, cours-y vite. Il va filer. De pommier en cerisier, cours-y vite, cours-y vite, De pommier en cerisier, cours-y va filer. Saute par-dessus la haie, cours-y vite, cours-y vite, Saute par-dessus la haie, cours-y vite ! Il a la campagne est évoquée et le poète passe en revue les herbes comme l’ache sorte de céleri, le serpolet ou farigoule ou encore thym, le bélier, l’animalité symbole de la puissance de la nature, l’énergie du petit ruisseau, le ru ou sourcelet, ... En bas puis en haut dans les arbres qui donnent des fruits, un fruit gourmand, printanier et peut-être un fruit défendu... Le bonheur est champêtre édénique ?, taquin, furtif, vif et si l’on traîne, il file ! Il faut donc s'activer !Paul Fort est un poète français, né en 1872 et décédé en 1960. Certaines de ses ballades ou autres poèmes ont été transmis dans les écoles primaires, comme Le bonheur » ou encore La ronde autour du monde. Paul Fort était un poète, parolier, écrivain, auteur de lettres, co-créateur avec l’écrivain Paul Valéry et directeur d’une revue littéraire qui fera connaître Apollinaire ou Max Jacob et du Théâtre d’Art, montant des textes de Jules Laforgue ou bien révélant au public français le dramaturge norvégien Ibsen. En 1912, après Mallarmé et bien d’autres, Paul Fort fut nommé Prince des poètes ». Avant et après la Deuxième guerre mondiale, il rencontra quelques déboires avec ses pairs pour intégrer l’Académie française, ce qui ne se fit pas, ou tenter de faire partie de jury du Goncourt. En 1934, Paul Fort fait partie du jury du Prix de la Jeunesse. Après avoir été décoré Chevalier de la Légion d’honneur, il est promu Commandeur en Fort fut un poète de la nature, de la lumière et des chants d’oiseaux. Il écrivit aussi des poésies plus tristes comme La complainte du petit cheval blanc ». Son style simple et lyrique à la fois, rythmé, symbolique il fut très proche du mouvement symbolique à la fin du XIXème siècle, ce qui lui valut quelques ennuis eut tous les atouts pour rendre ses textes poétiques populaires et plaisants pour les vous laisse avec un texte court et imagé qui vous plaira, je l’espère Cri d'or du soleilloriot, tarin, fauvette grise y jouent de leurs sifflantes flûteset dans ce bruit le merle incise l'airqui sur l'eau se répercuteMarie-Laure Tena – 7 juin 2018Sources - * Je n’écris pas poétesse » car il semble que cela soit moins valorisant que poète ».

Accueil› Poèmes par thèmes › Bonheur. Les Beaux Jours. par Pierre Camo. Ô jeunesse, par qui nous fûmes immortels, De quelles grâces vous pariez toutes les choses! Notre pensée était plus fraîche que les roses, Nos voluptés étaient plus douces que le miel! De jeunes femmes élégantes et rieuses, Assises près de nous sous les arbres du parc, S’éprenaient à relire Arioste et

Celui qui embrasse une femme est Adam. La femme est Eve. Tout se passe pour la première fois. J’ai vu une chose blanche dans le ciel. On me dit que c’est la lune, mais que puis-je faire avec un mot et une mythologie? Les arbres me font peur. Ils sont si beaux. Les animaux tranquilles s’approchent pour que je dise leur nom. Les livres de la bibliothèque n’ont pas de lettres. Quand je les ouvre, elles surgissent. Parcourant l’atlas je projette la forme de Sumatra. Celui qui brûle une allumette dans le noir est en train d’inventer le feu. Dans le miroir, il y a un autre qui guette. Celui qui regarde la mer voit l’Angleterre. Celui qui profère un vers de Liliencron est entré dans la bataille. J’ai rêvé Carthage et les légions qui désolèrent Carthage. J’ai rêvé l’épée et la balance. Loué soit l’amour où il n’y a ni possesseur ni possédé mais où tous deux se donnent. Loué soit le cauchemar, qui nous dévoile que nous pouvons créer l’enfer. Celui qui descend un fleuve descend le Gange. Celui qui regarde une horloge de sable voit la dissolution d’un empire. Celui qui joue avec un couteau présage la mort de César. Celui qui dort est tous les hommes. Dans le désert, je vis le jeune Sphinx qu’on vient de façonner. Rien n’est ancien sous le soleil. Tout se passe pour la première fois, mais éternellement. Celui qui lit mes mots est en train de les inventer. Jorge Luis Borges Bonheur
Déclinaisonde poèmes à deux voix, échanges en vers et joutes verbales poétiques, 6 poèmes thématiques sur la vie, les rêves, le bonheur HISTOIRES JEUNESSE Mes histoires jeunesse
Fanny Line, te rappelles-tu cette poésie que monsieur Richard nous faisait réciter tous les matins avant les cours? Line Euh! Non. Fanny Tu en es sûre? Line Absolument. Récite-là moi. Peut-être que ça me reviendra. Fanny Tu ne vas tout de même pas me faire dire une récitation à mon âge, surtout que j'en avais bavé à l'époque! Line Oui, mais ça t'a plutôt bien réussi, non? La preuve, tu arrives encore à te souvenir de tes récitations après tant d'années! Fanny Ces derniers temps, j'ai beaucoup pensé à celle-ci en particulier et j'ai été la recherchée sur Internet. Line Et pourquoi donc? Fanny Attend, écoute! Elle se lance dans sa récitation en mimant les gestes comme l'exigeait souvent le maître "Le bonheur est dans le pré. Cours-y vite, cours-y vite. Le bonheur est dans le pré. Cours-y vite, il va filer. Si tu veux le rattraper, cours-y vite, cours-y vite. Si tu veux tu le rattraper, cours-y vite. Il va filer." Line C'est tout? Qui en est l'auteur déjà? Et pourquoi es-tu allée sortir ça? Fanny C'est un poème de Paul Fort. je me posais des questions sur le bonheur et le titre de ce poème m'est venu à l'esprit. Je me demande si le bonheur est quelque chose qui est juste à portée de main et qu'il suffit juste de cueillir ou de saisir. Line Tiens, tiens! Madame commence à philosopher. Que cache cet intérêt subit pour la philosophie? Fanny Tu parles. Y'en a qui pensent qu'il suffit de s'arrimer à quelqu'un de bien établi pour trouver le bonheur. Line De mieux en mieux. Fanny L'autrefois, je te parlais de la réaction de mon oncle. Eh bien! il est à fond dans ses illusions. Il veut absolument avoir ton numéro. Line Ah oui! Pourquoi faire? Fanny A ton avis. Il veut être ami avec toi et, plus si affinité. Et crois-moi, il est décidé à mettre toutes les chances de son côté. Il m'a même livré sa version de la femme idéale pour m'épater. Line Et quel est le lien avec ton poème? Fanny Le lien? C'est tout simplement qu'il est en train de courir après un hypothétique bonheur au lieu de s'en construire un avec ce qu'il a déjà en main. Tu t'imagines? Juste parce que sa femme est très prise par ses activités, son premier réflexe c'est d'aller s'en chercher une autre. Enfin, ça c'est ce qu'il dit. Je suis sûre qu'en creusant un peu plus, la réalité sera tout autre. Line Possible. Après tout je conçois que dans certains cas, il faille arrêter de trop tirer sur la corde pour éviter qu'elle ne se casse. Dieu sait les dégats que provoquent les conflits prolongés ou les mésententes dans les relations, qu'elles soient amoureuses ou pas, d'ailleurs. Ceci étant, ton histoire de courir après le bonheur me fait penser à cette autre personne qui a carrément déclaré que "...si quelqu'un te refuse le bonheur, quelqu'un d'autre t'en donnera le double"... Fanny Sans blague! Alors on est en plein dedans. Reste à savoir si le bonheur se donne. Et si oui, pourquoi cet autre le ferait-il? Dans quelle circonstance? Et jusqu'à quel point serait-il prêt à le faire? Line C'est là le problème, malheureusement. Au lieu de s'efforcer à résoudre les difficultés et incompréhensions dans leur couple, ils se lancent à la recherche d'une "nouvelle compagne" à la première difficulté. Parfois ils sont simplement dans le mensonge. Fanny Nouvelle quoi? Où as-tu trouvé ce terme encore? Line "Nouvelle compagne". Tu ne l'as jamais entendu? Alors saches que c'est le terme qui est à la mode en ce moment. C'est la manière civilisée de dire "roue de secours". Le weekend dernier, un cousin de Sam s'est pointu à la maison avec une de ces soi-disant "nouvelle compagne"pour la lui présenter. Fanny Hein! Ca alors! Ca commence bien. Et la prochaine fois, ça sera à son tour de lui présenter la sienne! Line Après leur départ, je lui ai fait comprendre que si lui aussi en avait déjà une, autant qu'il me le dise de sorte chacun prenne ses dispositions et surtout qu'on fasse les choses de façon civilisée. Fanny Et? Tu crois qu'il te le dira? Line Je n'en sais rien mais il sait très bien à quoi s'attendre . S'il joue au sauvage comme les autres, je ferai le double. Fanny Espérons que ça ne soit pas le cas. Line T'inquiète. Je ne me laisserai pas surprendre. Mon défunt père disait toujours que les hommes prennent les femmes comme des chemises qu'ils utilisent et jettent une fois usées". C'est pourquoi il s'est toujours battu pour notre réussite scolaire. "Votre vrai mari c'est l'école", avait-il tendance à ajouter quand il voyait que nous rechignions à apprendre nos leçons. Fanny Difficile de penser le contraire lors que les gens se permettent de parader fièrement avec d'autres femmes alors qu'ils ont toujours la bague aux doigts.

Lebonheur Le bonheur est dans le pré. Cours-y vite, cours-y vite. Le bonheur est dans le pré. Cours-y vite. Il va filer. Si tu veux le rattraper, cours-y vite, cours-y vite. Si tu veux le rattraper, cours-y vite. Il va filer. Dans l'ache et le serpolet, cours-y vite, cours-y vite. () Rechercher; Plan ; Rédaction; Se connecter; ECOLE d’ AUZOUER-EN-TOURAINE (37) Vous êtes ici : Accueil

L'amour est dans le pré par Coucou Au milieu de la serre, parmi les géraniums, j’étais loin d’être un homme quand elle m’a dit » Robert, papa est à Rungis, profitons de l’instant, je pense qu’il est temps que j’voie ton appendice » Pour mon plus grand bonheur, cette fille d’horticulteur fit éclore ma plante. Elle se prénommait Berthe, Chaussait bien du quarante, Et avait la main verte… Poème posté le 12/01/21 par Coucou Poète WszJFqK.
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  • le bonheur est dans le pré poème